Qu’est-ce que vous trouvez le plus difficile dans le fait d’être entrepreneur?

Personellement, la chose que j’aime le PLUS est aussi celle que je trouve le plus difficile…

TU es responsable de 100% des résultats: positifs ou négatifs.

Être entrepreneur, pour moi, c’est avant tout avoir la capacité de décider par soi-même de la contribution qu’on fait à la société et les revenus que tu génères reflètent l’appréciation de la société envers tes services.

Le seul problème, c’est le maudit gouvernement qui brouille ces signaux en donnant des centaines de milliers de dollars à tes compétiteurs. (Saviez-vous que Alias Entrepreneur, la communauté de Serge Beauchemin, reçoit des dizaines milliers en subventions chaque mois pour annoncer sur Google Ads?)

Et quand ils ne sont pas en train d’aider ta compétition qui ne génère aucun profit (en utilisant l’argent réalisé en taxant les tiens, of course!), ils s’assurent de se mettre dans tes jambes pour te ralentir le plus possible.

Bref, je vais mettre mon aversion envers le gouvernement de côté et répondre plus sérieusement. :stuck_out_tongue:

L’entrepreneuriat vient avec de la pression et je trouve cette pression difficile. Je ne chiale pas! Après-tout, je ne voudrais pas que ce soit facile. Le fait que c’est difficile est (pour moi) ce qui donne du sens à l’entrepreneuriat.

Comme j’explique dans cet article:

La liberté, c’est être capable de choisir sa propre prison. Comme Drake dit dans son dernier album: « They say more money, more problems. Bring on the motherfucking problems! »

Bref, sujet de conversation un peu décousu aujourd’hui. On dirait que j’aurais pu répondre de 50 façons différentes. Peut-être que vous vous sentez pareil? Qu’en pensez-vous! Qu’est-ce que vous trouvez le plus difficile avec l’entrepreneuriat?

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Moi c’est les autres qui veulent profiter de ton nouveau sens des responsabilités!

Ça me dérange pas d’avoir cette responsabilité parce que c’est aussi une liberté. Du moins, comme tu dis, je choisis ma prison, pis celle-là, je l’ai décorée à ma façon.

Par contre, c’est tout le monde qui te demande après comment ils devraient bâtir leur propre prison. Vu que maintenant ils voient que tu as bâti la tienne, ils veulent tous les secrets pour une belle prison, tout cru dans le bec, et que ce soit le plus facile possible.

« Gave-moi s’il te plaît! »

Ça me répugne un peu à chaque fois pour vrai… et depuis que j’ai commencé à me le faire faire de temps en temps (c’est vraiment pas si mal que ça en plus), je comprends mieux le regard « hautain » et le manque d’empathie que certains entrepreneurs peuvent avoir des fois…

Hahahahah! Oui il y a beaucoup de gens qui « jouent à être des entrepreneurs » et, puisque tu es le seul qu’ils connaissent, ils viennent de voir pour que tu leur donne tout cru dans le bec la recette du succès.

Et là, ils sont fâché quand tu leurs dis que la recette du succès c’est d’apprendre à te débrouiller tout seul comme un grand parce que toi t’as jamais eue personne pour te tenir la main. :stuck_out_tongue:

Quelqu’un qui veut se faire encadrer, c’est le premier red flag d’un mindset d’employé. Tant qu’ils gardent ce mindset là, il n’y a rien à faire.

Ça commence toujours par; Bonjour, j’aurais une question à vous poser… J’ai des alpagas (ou je voudrais des alpagas, c’est interchangeable ici) et…

Et là ils ont toujours une, deux, trois petites questions pour toi même si c’est spécifié sur mon site que je ne fais que des consultations sur rendez-vous.

Soit ils ont acheté des alpagas bas de gamme parce qu’ils voulaient pas payer le vrai prix et n’ont pas de mentor pour les aider maintenant que ça ne va pas comme ils veulent, soit ils sont en train de faire leur plan d’affaire et s’attendent à ce que tu répondes aux questions pour eux afin qu’ils aient leur financement…

La question a toujours environ 3-4 mots mais la réponse exacte pourrait être le sujet d’un article.

Dépendant quelle est la première question, je suis polie, et je répond souvent grosso modo. La deuxième, je leur dit que je fais des consultations et qu’il faudrait prendre rendez-vous, comme c’est bien écrit sur le site qu’ils disent avoir parcouru en entier. Majoritairement, ils sont offusqués que je demande de l’argent pour passer du temps à répondre à leurs questions et me demande qui ils pourraient appeler à la place pour les aider (parce que tsé, ils méritent d’avoir tout gratuitement !)… ils ne comprennent pas vite…

Donc; même pas besoin de leur dire de se débrouiller seuls pour les offusquer… même quand tu offres de les aider en étant juste pour toi aussi, ils le sont !

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Je pense vraiment qu’il y a 2 types de personnes… Les gens qui savent apprendre, et les gens qui ne savent pas apprendre.

@Nicolas_Lehette est justement en train de travailler sur une formation là-dessus. Je pense que c’est vraiment quelque chose que les gens ne réalisent pas!

C’est aussi pourquoi je recommande aux gens d’apprendre à programmer. Une fois que tu sais apprendre à coder, tu peux apprendre n’importe quoi. J’avais fait 2 articles qui parlent un peu de ça…

Et un autre qui parle des gens qui veulent juste prendre prendre prendre prendre prendre prendre…

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Je rejoins vos échanges en apportant aussi un point de reflexion :

  • Certaines personnes ont plus de mal que d’autre dans certaines pratiques.

Certains sont singes et grimpent bien aux arbres et nagent comme des … singes.

D’autre sont des poissons et nagent comme des… poissons dans l’eau mais va t’en leurs demander de rejoindre le singe

Oufti vous me suivez ? :stuck_out_tongue_winking_eye:

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Je rajouterais une chose que je trouve difficile: la culpabilité et la difficulté immense à prendre des vacances mentales.

Je me rappelle, dans mes débuts, un moment donné, j’ai repris une job pour arrondir les fins de mois. Et j’ai trouvé tellement libérateur d’avoir une job de jour où j’avais besoin de penser à rien et d’arriver le soir et d’avoir FINI cette job et pouvoir décrocher si facilement que j’ai décidé à ce moment de juste prendre une pause et de faire que cette job.

Des fois, je trouve ça super exigeant mentalement de toujours penser à ton entreprise, de voir constamment ce qui manque et ce qui doit être fait et de pas prendre le temps de profiter et d’apprécier ce qu’on a bâti.

Je sais pas si ça vous fait ça?

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Je crois que c’est différent pour chaque entrepreneur, il y a différent type d’entrepreneur comme différent type de travailleur. Probablement que tu es du type très engagé , qui veut faire mieux. Je suis comme ça aussi. Mais j’ai eu des associés où « petit train va loin », c’est-à-dire des personnes qui ne font qu’entretenir et qui vont faire quelque chose quand ça brise sinon c’est la routine. J’étais celle qui tirait constamment pour innover. En même temps je ne suis pas la perfectionniste. Car pour ma part je suis dans le flow , la passion avec un haut niveau d’engagement très élevé et habituellement c’est simple… je suis connectée et les solutions viennent à moi, je suis dans le plaisir ….des fois elles viennent d’endroits que je ne pensais pas c’est comme si j’étais soutenu par une force plus grande. Mais avec le web je ne suis plus capable d’être dans cette énergie, je suis devenue complètement obsédée par les réseaux sociaux et j’ai manqué mon coup. Je suis en train de penser à essayer de nouveau car j’aime la liberté qu’offre l’entrepreneuriat . Mais c’est très difficile quand l’argent n’entre pas suffisamment.

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Oui en effet, je comprends très bien!

Je me décris comme un « nerd » de ce que je connais et je valorise beaucoup de savoir, d’être vu comme l’expert.

Donc, quand ça ne correspond pas à ce que je juge comme être un niveau expert, j’ai beaucoup de misère à prendre une pause mentale. Je peux prendre des pauses physiques, car c’est obligé et grâce à la méditation, j’arrive aussi à prendre des pauses mentales quand c’est nécessaire, mais c’est quand même constamment là, dans mon subconscient.

Et en effet, quand l,argent ne rentre pas comme on veut, c’est très difficile d’y faire abstraction et de ne pas y penser. Ça nous fait faire des moves impulsifs qui ne nous servent pas nécessairement.

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Hahaha pas un conseil que je recommande, mais pour moi quand je veux mettre la switch à off, je me prends une grosse poff d’herbe magique. :herb:

Mais ça y vas par phases… parfois ça m’arrive de travailler 60-80h semaines pendant plusieurs mois. Je travailles tellement, que je rêve que je travail la nuit et mes petites herbes m’aident à arrêter de travailler.

Je suis pas mal dans ce mode là depuis octobre et je commence à avoir d’avoir des plus petites semaines. :sweat_smile: Je vais partir 3 mois cet hiver, alors je me dit que j’aurai tout le temps de me reposer rendu là!

C’est épuisant de faire des grosses semaines, mais ce que je trouve encore plus difficile, c’est quand je fais des semaines de 15 heures et que je manque de motivation… J’ai eue quelques phases comme ça et je trouve ça plus difficile mentalement que de travailler TROP.

En me relisant, je me demande si je suis normal ou bi-polaire hahahaha! J’imagine un peu des deux? Whatever… :man_shrugging:

En même temps, ça peut être difficile quand l’argent rentre trop!

En 2020-2021, j’ai tellement fait d’argent avec la crypto et la bourse que je me demandais à quoi ça servait de mettre du temps sur mes business. Je faisais plus par jour à rien faire que ce que je pouvais faire en plusieurs semaines de travail.

Cette année? J’ai jamais perdu autant d’argent aussi vite de toute ma vie! :rofl:

Quand la business ne va pas bien, on a 2 options: redoubler d’efforts et donner son 110%… ou abandonner et s’évacher devant la télé.

Quand on a trop d’argent, c’est facile de prendre la 2e option. Ce n’est que quand on est au pied du mur qu’on est capable de trouver la force de foncer comme on a jamais foncé auparavant.

Être thight financièrement, ce n’est pas un problème, c’est une bonne chose! La vie est trop facile.

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J’aimais bien l’herbe aussi, sauf que j’ai fait une crise d’anxiété après avoir fumé durant un des confinements et disons que ça m’a stoppé assez net.

J’ai développé une sorte de crainte de fumer seul, alors c’est plus une option.

Wow, pour vrai j’ai jamais eu ce stade-là encore, mais ironiquement, je comprends ton point. Les fois où j’ai ressenti le plus de thrill, c’est mettons quand j’étais en voyage et que j’étais au pied du mur et j’avais pas le choix de trouver de l’argent.

Ça m’est pas arrivé souvent et, en toute franchise, je pense que je faisais exprès de m’y rendre parce que si je l’avais voulu, j’aurais pu vivre très confortable.

Par contre, le sentiment d’être tellement coincé que je n’ai plus le choix de trouver des solutions active une partie de soi vraiment addictive… C’est comme si tu débloquais le mode « créativité suprême » quand t’as plus le choix.

Et là, tu te rends compte que t’as beaucoup plus de ressources que tu le penses.

Je sais pas si tu peux faire la même chose avec « trop de ressources ». C’est intéressant comme point de vue.

C’est d’ailleurs pour ça que j’ai jamais pris de job longtemps, parce que pour moi, l’ennemi du « progrès » est d’être juste assez confortable dans ta situation…

Je le vois trop souvent, des gens dans le 8 à 4, coincés dans leur quotidien, qui chialent tous les jours et se plaignent de leur « misère » et à quel point ils voudraient être entrepreneurs, mais qui peuvent pas sortir de là parce que c’est trop confortable…

IL y a trop à perdre.

Perso, pour mes projets, je me suis toujours lancé tête première pour ne pas être trop confortable…

Ça mène à des foutus stress aussi, et j’ai eu des breakdowns en masse (pu maintenant, c’est rendu très difficile), mais je pense que c’est ça qu’ils veulent dire par « forger ton caractère ».

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By the way, c’est pour ça que j’ai appelé la business comme ça… La vrai magie se passe dans les tranchées, pas dans la salle de conférence d’une tour de verre.

Tu te rends compte aussi que tu as besoin de moins que ce que tu penses… J’aimais bien la vision de Tim Ferris ou encore Ryan Holiday là dessus. Si tu ne veux pas te lancer d’entreprise parce que tu as peur de dormir par terre, fais-le pendant une semaine et tu vas te rendre compte qu’on s’habitue à pas mal n’importe quoi. Le stoïcisme est vraiment une belle mentalité « anti-fragile »!

Le problème avec avoir « trop de ressources », c’est qu’il faut que tu dépenses beaucoup d’énergie à les protéger au lieu de continuer à faire ce qui t’as permis de les acquiérir.

Je ne parle pas juste d’inflation, mais aussi des parasites qui sont attirés par le capital. Comme des requins qui sentent le sang dans l’eau, soudainement tu as plein de monde qui cogne à ta porte. On se croirait dans une fête d’enfant, tout le monde veut son morceau de gâteau! Ça va de tes fournisseurs, locateurs, partenaires, revenu Canada… :rofl:

Plein de monde ne réalisent pas LA CHANCE qu’ils ont d’avoir une bonne job de 8 à 4. Je ne dis pas ça parce que je les envie, mais parce qu’il y a ÉNORMÉMENT de « gestionnaires » et de pousses-papiers qui ne génèrent pas un DIXIÈME de leur salaire en valeur.

S’ils avaient à faire face au libre marché, ils ne surviveraient pas une semaine.

La SEULE raison pourquoi ils gardent leur emploi, c’est parce que leur employeur se fait rembourser 80% de son salaire par le gouvernement. C’est même le cas pour les agences web! Quand tu as assez d’employés, tu es élligible aux subventions pour l’innovation et le commerce en ligne et les subventions deviennent rapidement plus lucratives que tes clients.

Le client, lui, paye encore 125$/h pour qu’un junior gosse sur son site.

On pense « stimuler l’innovation » avec tout cette argent, mais il n’y a rien de pire que ça. C’est mieux pour la société de renvoyer la personne non productive, pas de la tolérer. Parce que si on la tolère, ça ne la force pas à devenir productive.

Ça me fait penser un peu à Elon Musk qui vient de renvoyer 75% du staff chez Twitter… Le 3/4 du monde ne faisait rien! Leur seul job était de justifier leur job en s’inventant des histoires.

Bref, pour revenir à ton point.

Je vois un peu l’entrepreneuriat comme la « vraie vie » et les « emplois » comme la matrice.

L’entrepreneuriat, c’est réel & concret. Les incitatifs sont alignés avec la réalité. Quand tu génères de la valeur, tu le sais. Quand tu n’en génère pas, tu le sais.

Dans la matrice, rien n’est vrai. Les salaires, les titres, les locations d’autos, les fonds de pensions… Un gros ponzi.

Personne ne veut faire de peine à personne. Tout le monde est ami. L’intimidation n’existe pas et tout le monde est égal!

Égal dans leurs prescriptions de rivotril, prozac, ativan, zoloft, xanax et luvox. :laughing:

Oui, il y a des entrepreneurs qui ne contribuent pas… Qui arnaquent le p’tit mouton quadruplement vacciné qui porte son masque n95 en dessous du nez tout seul dans son auto.

Des entrepreneurs qui ne font rien par principe ou par vision, mais parce qu’ils voient des « opportunités ». Il ne suffit que de regarder ceux qui ont lancé une collection de NFT ou un crypto token en 2017 ou même ceux qui se sont ouvert des e-comm de masques pendant la pandémie…

Bref, mon p’tit rant du dimanche. :sweat_smile:

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Ayoye Olivier je croyais que tu avais une vie harmonieuse et équilibrée :wink:

J’ai tellement bossé pour arriver à vendre sur le web que je me suis épuisée et je n’ai même pas réussi à mettre une formation en vente sur mon site.

Découragée je suis retournée sur le marché du travail et je me suis donnée à fonds encore une fois sans penser aux conséquences sur ma santé. Plus on avance en âge et plus on réalise que la batterie quand elle vieillit , elle se charge moins bien et elle dépense son énergie plus vite.

Je ne crois pas que tu sois bipolaire le corps a lui aussi des saisons et après une grande phase de créativité et de production il est important d’hiberner, c’est le temps de se régénérer d’où la perte de motivation. Surtout si tu ne veux pas tomber malade lorsque tu prends tes vacances.

Moi aussi j’ai perdu énormément d’argent cette année et la différence entre moi et toi c’est que je suis très près de ma retraite, mes rêves sont partis en fumée. C’est une des raisons qui me motive à reprendre mes projets mais aussi parce que c’est ce que j’adore plus plus faire. S’agit maintenant de trouver la façon que ça marche avec moins d’énergie investie.

Je comprends… Pas la même chose de subir un coup à 31 ans et qu’on a la tête remplis de projet que lorsqu’on approche de la retraite et qu’on a la tête pleine de plage!

Je vais lancer un conseil en l’air comme ça.

Tu ne m’as pas demandé mon aide et je ne veux pas prétendre de connaître ta situation ou savoir ce que tu devrais faire mieux que toi.

C’est un conseil que j’ai moi-même suivi plus jeune et je pense que c’est un bon conseil. Surtout pour les gens qui sont sur le marché du travail et qui souhaitent en sortir!

Trouve-toi une journée par semaine pour écrire un article de blogue que tu penses qui va bien performer sur GOOGLE (et non sur Facebook) et publie à chaque semaine.

Maintenir un blogue est plus facile que de maintenir une chaîne YouTube ou un podcast et les bénéfices au niveau du trafic web sont immenses.

En moyenne, les gens ont besoin de publier pendant 3 ans avant de pouvoir vivre pleinement de leur site. Certains le font (beaucoup) plus rapidement, mais je ne connais personne qui n’a pas fini par avoir son moment s’il est resté constant pendant 3 ans.

Tôt ou tard, un article fini par percer l’algorithme et ton site commence à recevoir plusieurs dizaines de milliers de visites mensuelles.

Il faut voir le SEO comme un filet de sûreté qui te permet ensuite de prendre des risques en sachant que, rain or shine, X nombres de personnes vont te trouver, s’abonner à ton infolettre et avoir besoin de tes solutions.

Si tu mets tous tes efforts sur Facebook, Instagram ou TikTok, c’est le burnout assuré!

Non seulement ça, mais le fait d’écrire a quelque chose de non seulement thérapeutique, mais également formateur.

Écrire force à orienter et préciser sa pensée. Entre YouTube, Netflix, Tik Tok et les podcast, notre antenne à dopamine est tellement sur-stimulé qu’aussi bien dire qu’elle n’existe plus!

Les bienfaits de l’écriture sont assez bien documenté…

et je suis personellement convaincu qu’il s’agit d’une activité importante pour guérir le cerveau de nos addiction aux médias sociaux.

Bref, my two cents. Si jamais tu as besoin d’aide pour quoi que ce soit (blogue, formation, marketing, etc), n’hésites pas à poser tes questions ici!

Dans la même veine, rien n’est plus formateur que de tenter de répondre aux questions des autres. Avoir la bonne réponse n’est pas importante, on est tous en apprentissage et tous les membres de La Tranchée sont dans une situation similaire à la tienne.

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J’aime ce thread! Après mes études, j’ai été salariée pendant huit ans avant de devenir entrepreneure. Étant un brin rebelle, j’étais attirée par la liberté… et en même temps, cette liberté est devenue ma pire ennemie, car je n’ai jamais appris à fonctionner sans cadre.

Je dois trouver MON cadre, celui dans lequel je peux à la fois me sentir heureuse et produire ce que je dois produire. C’est ce qui est beau dans l’entrepreneuriat, mais c’est aussi plus difficile que je le pensais! Je suis encore en train d’apprendre sur moi.

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Merci pour cette question !
Ce que je trouve vraiment difficile dans le fait d’être entrepreneur c’est le FOCUS ! Il y a tellement de choses à construire, à faire, à prévoir que parfois je m’y perds, sans forcément voir les résultats.
et lorsqu’il y a pas de résultat c’est encore plus dur d’avoir de la motivation et persévérer
Et là, je suis totalement aligné avec le fait que c’est la grosse notion de la responsabilité qui va primer

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:100:

Le focus est une des choses les plus IMPORTANTES.

Dans notre thread sur les lectures ayant eue le plus d’impact sur les membres, The One Thing revient souvent!

Je le dis souvent, mais en affaires, les NON sont plus importants que les OUI.

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@Olivier_Lambert très bon conseil que j’ai écouté en 2017. J’ai même acheté ta formation sur le blogue avec un ami. J’ai 84 articles sur mon blogue et celui qui a fait le plus de buzz est celui ci avec 4k Dans toute situation relationnelle, s’ouvre une boucle systémique - Cocrea.ca - Cocreation empathique avec Monique Desjardins, je crois que j’ai un problème avec les titres de mes articles et probablement les mots étiquettes. Maintenant mon site est à refaire, il est complètement désuet et je me demandais si je dois tout recommencer à 0 avec des nouveaux titres. Je ne sais pas si je vais perdre ma barre de compilation avec un nouveau site. Aussi si je t’écoute je crois que je devrais mettre toute mon énergie à créer des formations en ligne pour avoir une source de revenu car de plus les lois ont changé et je ne peux plus émettre de reçu pour les assurances. Un autre point que je dois m’occuper. Revenir dans l’entreprenariat rapidement est tout un défi. Qu’est ce que je devrais privilégier selon toi?

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Effectivement @Farah1 c’est ce que j’ai fait et je me suis même rendue à l’épuisement en voulant être partout, chaîne Youtube, réseaux sociaux, articles de blogue que finalement je n’ai jamais créé mes produits à vendre. Maintenant je souhaite reprendre le travail et je voudrais moi aussi ne pas m’éparpiller. Je souhaite me concentrer sur mes produits et en même temps je crois que Youtube permet de tester s’il y a de l’intérêt , mais cela dépend de tes produits bien évidemment, à moins que tu ne sois une entreprise de service.

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Ouf, cela ne peut pas être plus vrai!! C’est difficile de se défaire de ce « mindset » quand justement le look and feel est tellement essentielle dans notre réalité éphémère où on est driller à être divertie en moins de 5 secondes! D’autant plus comme tu as déjà mentionné on est à la merci de ces plateformes…

pareillement! j’ai même eu une opportunité en or avec une offre de services conseils de @Styphoon que j’ai totalement passé à côté (je suis entièrement responsable), justement en étant « pris » avec des études au doctorat et de très bons emplois, ta business ne devient pas une priorité dans tes actions même si tu en dis le contraire… puis boom les années passes et tu as avancé tellement lentement que c’est à « refaire »!

Alors pour moi, le plus difficile est nettement la priorisation de son entreprise dans un contexte où tu es très bien financièrement (et donc loin d’être au pied du mur), gérer la peur de ce « gap » temporaire … Les choses qui sont importantes pour nous mais non urgente

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