S’il y avait UNE chose que vous pourriez changer dans notre société, ce serait quoi? (et pourquoi?)

Haha !! Y a tellement à apprendre sur tout, raison d’ailleurs pour laquelle je suis ici !
Vive le cerveau collectif !! Et merci d’être là pour nourrir la discussion ! :+1:

6 messages ont été scindés en un nouveau sujet : Problème de certificat SSL!

De là changer le modèle d’éducation, autant la structure des écoles pour enlever la compétition et y instaurer la collaboration. En effet il serait bon d’apprendre la responsabilisation, l’empathie et la communication non violente.

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Très bonne idée! C’est fait. :wink:

Il faut vraiment définir ce que tu entends par « désinformation »… Avec ce qui s’est passé pendant la crise du COVID, les médias ont affirmé des faussetés pendant des mois en accusant les détracteurs de répendre de la « désinformation ». Je pense que c’est un terme excessivement dangeureux.

Eh merde, je ne suis pas du tout d’accord! Au contraire, je pense qu’on devrait maximiser la compétition. C’est incroyablement stimulant pour un jeune d’être en mesure de se comparrer et de s’améliorer selon des métriques précises.

Par contre, je pense que le jeune devrait être en mesure de choisir lui-mêmes les métriques sur lesquels il souhaite être évalué. Il pourrait choisir à partir d’une banque de métriques et en choisir 4 ou 5, ce qui lui donnerait un focus et permettrait de « gamifier » davantage l’éducation.

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Tellement d’accord ! C’est tout un débat que cette question de compétition.
On brandit souvent comme raison, pour éviter la compétition, qu’elle peut générer
l’anxiété de la performance ou carrément l’exclusion de certains individus.

Je crois que quand on a reçu assez d’amour et d’encouragement dans son enfance, quand on a appris à vivre avec l’échec et à le voir simplement comme une opportunité, celle de s’améliorer on est très bien capable de se relever de continuer à avancer sans se sentir démuni ou dévalorisé face aux aptitudes des autres.

Mais la société est malade, c’est la normalité, on vit dans une perpétuelle compensation. Pourtant le concept de la vie même, qui s’applique aussi pour différents domaines, est que l’énergie des plus performants, des plus résilient nous poussent naturellement vers l’avant.

Dans une société, la dynamique est que chaque individu est interconnecté aux autres. Sa survie et son confort dépend des autres. Chacun a ses forces et doit les développer pour apporter la meilleure contribution possible au groupe.

On peut niveler par le bas et éliminer toute compétition…mais ça m’angoisse un peu de penser aux résultats que ça donnerait.

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Merci du partage Monique…j’adore Albert Jacquard.

Je pense effectivement que la compétition peut avoir des conséquences malsaines
…comme le contraire. Ex : Quand je fait faire une soumission pour un service
je tiens compte de plusieurs critères : attitude, communication, feuille de route, compétence, tarifs. Celui qui me présente le meilleur portrait l’emporte. L’autre qui se fait damer le pion a intérêt à retourner à sa table de travail et à améliorer certaines choses…à son plus grand bénéfice d’ailleurs.

Des nuances il y en a, et tracer la ligne est difficile. Bien sûr, cette compétition sauvage qui nous fait perdre notre humanité me laisse perplexe pour ne pas dire qu’elle me décourage. Ceci dit tes liens sont parfaitement bien choisis.
Ça donne un son de cloche qu’on oublie parfois !

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Salut Mario, tous les deux aimons Jacquard et le travail bien fait et en même temps je ne crois pas que ce soit la compétition qui fasse qu’un individu donne le meilleur de lui-même et qu’il se tienne loin du bâclage. La motivation intrinsèque est beaucoup plus forte que la motivation extrinsèque et ça le système public ne l’a pas encore compris. L’humain a beaucoup de difficulté à être bon dans ce qu’il n’apprends pas dans sa jeunesse de là l’importance de privilégier le sens du collectif à l’école , le Nous plutôt que le Je l’individualisme et de la compétition. La compétition pousse à la rivalité et à la destruction de l’autre qui est sur son chemin, donc à l’individualisme. Nous sommes tous interdépendant, l’indépendance n’existe pas c’est un leurre. Nous avons tous besoin des uns et des autres. L’école devrait nous apprendre à nous connaitre, à prendre conscience de nos forces et de nos zones à travailler , elle devrait nous apprendre à travailler en équipe et à collaborer avec des personnes qui ont des forces différentes des nôtres et qui enrichies le groupe. Nous sommes des miroirs les uns pour les autres et nous nous construisons par le contact avec les autres. Une chance que dans les milieux de travail nous sommes de plus en plus conscients que la diversité des modes de pensées et des expériences font la richesse des équipes. Chacun a un regard différent selon son expertise et rassembler toutes ces visions différentes fait la richesse d’une équipe. La compétition mène à la guerre. Quant à moi la compétition est la racine de tous les problèmes sociaux.
Voici un extrait d’une entrevue avec Jacquard qui fait la distinction entre émulation et compétition
Quelle différence faites-vous entre compétition et émulation?

Contrairement à la compétition, l’émulation sollicite les meilleurs instincts humains. Chacun se compare aux autres et se réjouit de trouver quelqu’un qui est meilleur que lui, puisque cet autre va l’aider à progresser. C’est un jeu où chaque individu cherche avant tout à se dépasser. Il n’y a rien de plus beau que le sport sans compétition, où les participants cherchent à donner le meilleur d’eux-mêmes. Franchement, est-ce que courir le 100 mètres en moins de 10 secondes, ou gagner contre telle équipe peut être un idéal humain? Dans ce domaine comme dans d’autres, nous aurions beaucoup à puiser dans la sagesse des Africains. Un exemple : il existe à Dakar un club de rugby qui se nomme « S’en fout du score ». Ce n’est pas magnifique, ça?

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Bonjour Monique,

Pas mal occupé ces derniers jours mais je te reviens…
merci pour ton message et tes liens qui, soit dit en passant, sont hyper intéressants et m’aident à avoir une vision plus large et détaillée de la chose. Je comprend ton malaise devant ce phénomène de compétition. Parfois ça prend des tournures sans humanité. Mais je continue à croire qu’il y a des nuances qu’il y a des contextes où elle peut avoir un impact favorable.

Avec tous ces cours de CNV disponibles maintenant et autres approches, c’est pas les ressources qui manquent pour apprendre à gérer nos comportements. Je continue à croire que la compétition peut être un élément qui amène le surpassement de soi, mais pas dans tous les contextes.

La racine dont tu parles n’est pas la compétiton mais la disposition intérieure selon moi et cette disposition revient à un problème d’éducation ou de personnalité…à moins d’être une poule comme dans la vidéo de Margaret Hefferman. :wink: Merci de me l’avoir fait découvrir en passant.

J’ai de la difficulté avec ce concept de réduire un problème de société en cochant une seule case comme cause. C’est beaucoup plus complexe que ça. Il y a toujours selon moi plusieurs vecteurs à un problème. Il y a d’autres éléments à prendre en considération et le contexte peut changer la donne.

Bref le sujet est intéressant donc l’échange peut devenir ‘’never ending’’ facilement
mais ton son de cloche m’a amené à considérer certaines choses que je ne voyais pas.
C’est comme ça qu’on avance et qu’on se fait une meilleure tête sur un sujet !

Passe de Joyeuses fêtes !!

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Oui je dirais exactement comme toi. L’éducation. J’ai fais presque 2 ans d’école à la maison avec mon fils. C’est pas fait pour tout le monde, mais dans notre cas, halléluia!! J’espère que la société évoluera en priorisant l’éducation et différemment qu’aujourd’hui!

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Oui effectivement Mario l’échange, le partage d’idées , la curiosité et l’exploration des idées des autres, la cocréation … crée de l’enrichissement à l’infini. Il est bien de discuter lorsque nous ne voulons pas à essayer d’avoir raison. Comme tu dis , la vie est complexe et utiliser la généralisation pour analyser une chose c’est essayer de la réduire au minimum et donc de la dénaturée. Je n’ai même pas regardé la définition de « compétition » mais je connais son synonyme dans le contexte des relations familiales qui est la rivalité, et est selon moi très nocive, lorsque les enfants se combattent entre eux pour avoir l’attention des parents. Mais peut-être que si je me mets à analyser plus en profondeur je pourrais trouver des aspects positifs…il n’y a rien de complètement blanc ni de complètement noir :wink:
Joyeuses fêtes à toi aussi

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La compétition c’est comme l’argent. Ça n’a pas de valeur en soi, c’est l’usage qu’on en fait qui lui donne sa valeur. Personnellement, je suis une femme très compétitrice et je le suis depuis que je suis jeune. J’ai toujours aimé la compétition, à l’école, dans le sport, au travail, dans mon entreprise. Cependant, ça ne fait pas de moi une personne qui ne collabore pas. Je suis toujours prête à collaborer pour le bien commun. Je suis généreuse et toujours prête à aider.

Pour moi, la compétition, ça sert d’outil de performance et de motivation. Je me compare toujours avec les meilleurs pour savoir ce que je peux améliorer. C’est comme ça que j’évolue.

Pour une autre personne, ça peut être différent. C’est une question de personnalité.

Alors, il ne faut pas généraliser quand on dit que la compétition pousse à la rivalité et à la destruction. Pour certaine personne c’est le cas, s’ils ne cultivent pas les bonnes valeurs.

Si tu compétitionnes pour améliorer ton rendement et que tu te sers de tes réussites pour améliorer la vie des autres, alors, vivement la compétition!

Ça ne marche pas. J’étais une première de classe, et le travail d’équipe, je l’assumais toute seule. Les gens voulaient être dans mon équipe pour avoir les meilleures notes sans travailler. Les professeurs se foutaient bien de cette dynamique d’équipe.

Je comprends que dans un monde idéal, on voudrait tous appliquer ce que tu dis. Je ne suis pas contre la vertu, mais dans la réalité, ça ne marche pas comme ça. Malheureusement.

Les mots sont importants, alors, si les gens ne connaissent pas le concept de l’émulation, c’est donc difficile à appliquer. Un mot devient un symbole. Le mot « compétition » englobe ces deux concepts. D’ailleurs, le synonyme d’émulation est compétition dans le dictionnaire.

Ça l’est pour beaucoup de monde! Pourquoi serait-ce mal? Quand j’étais jeune, je pratiquais les arts martiaux. Il n’y avait rien de plus important pour moi que de monter sur le podium. Mais ça ne faisait pas de moi quelqu’un avec moins de valeurs nobles. Bien au contraire! Les arts martiaux m’ont ouvert à une philosophie extraordinaire de la vie. Aussi, j’ai appris la persévérance, les efforts, la confiance en moi, et la paix. Et oui, l’art des combats m’a appris la valeur de la paix. Mes professeurs nous enseignaient de ne jamais utiliser nos compétences en-dehors du ring. Montrer les poings, c’était de la lâcheté.

Je ne suis pas d’accord. C’est le manque de bienveillance, d’empathie, et la cupidité, entre autres, qui mène à la guerre. Comme je le disais, la compétition toute seule ne cause pas de problème. Tout dépend de l’intention derrière la compétition.

Le club de rugby se fout peut-être du score, mais quand il gagne, il est sans doute très fier.

Loin de moi de vouloir minimiser ce que tu dis, car je suis d’accord avec le principe. Mais je sens comme une généralisation. Pour moi, la compétition, c’est comme une flamme qui te fait avancer. C’est une sorte de carburant. Dans mon domaine, j’appellerais ça de l’énergie. Et comme dans toute sorte d’énergie, c’est ce que l’on fait avec qui fait la différence.

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Exact Annie comme tu dis ça ne marche pas comme ça. Et malheureusement ce ne sont pas des principes qui sont innés, il faudrait les apprendre et l’école pourrait s’en charger, chose qu’elle ne fait pas selon moi. Il faudrait que je fouille mais il me semble que dans les pays où le filet social est très présent , il y a un apprentissage de la coopération.
Et je comprends que pour toi que la compétition est importante, qu’elle te motive et te fait évoluer et c’est ok.

J’aimerais implanter un cours de conduite pour les paniers au Costco. :smiling_imp:

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Pouahahaha!! Version Mario Kart ça rendrait ça au moins drôle!
… va savoir pourquoi ton emoji :smiling_imp: m’a fait faire ce lien-là, mais j’aime bien l’image du chaos que ça serait :joy:

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De mon point de vue, la compétition est une forme de motivation intrinsèque. Tu veux battre un record parce que ça te fais te sentir bien face à toi-même.

Je ne suis tellement pas d’accord! J’ai l’impression que, selon ta définition de compétition implique une dynamique gagnant/perdant.

Il ne faut pas se comparrer aux autres, mais à sois-même dans le passé. Si tu es compétitif face à toi-même, il n’y a que du positif qui va en sortir!

La réalité est qu’il y a toujours quelqu’un de plus intelligent, plus riche, plus beau, plus compétent, plus drôle, etc. Je ne pense pas qu’on puisse vivre heureux bien longtemps avec cette attitude-là! :stuck_out_tongue:

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exactement @Olivier_Lambert tu as tout compris, nous ne parlons pas de la même chose, le mot compétition n’a pas du tout la même connotation , la même signification pour moi que pour toi et pour beaucoup d’autres dans le fil de discussion, c’est ce que je me suis aperçue. Comme tu dis pour moi la compétition implique une dynamique de gagnant/perdant. Tout ce que tu nommes pour moi c’est de l’émulation ce qui est sain, ce n’est pas de la compétition qui elle s’adresse aux parties de notre cerveau les plus primitives, la pensée binaire toi ou moi.

Et pour moi chercher à être la meilleur version de soi-même ce n’est pas un esprit compétitif qui va m’y mener mais plutôt une recherche de sens.

Tout cela ne sont que des mots, des idées et des compréhension différentes. Je suis entre autre une pédagogue qui accompagne les personnes et surtout les familles depuis longtemps et j’ai étudié les différents systèmes d’éducation et aussi pour ma propre expérience d’accompagnatrice avec mes enfants: écoles alternatives avec Charles Caouette, écoles publiques et internationales, Rudolf Steiner, Maria Montessori, école à la maison etc Dans toute cette démarche je me suis beaucoup intéressé à ce qui pouvait motiver un enfant à apprendre et à aller de l’avant dans sa recherche d’épanouissement , de réalisation et de contribution à la société et la compétition n’en fait pas partie du moins à long terme car elle dénature et éloigne l’enfant de son projet de vie qui est très clair au départ, mais encore ici c’est ma compréhension.

Lorsque je parle de compétition pour moi cela veut dire gagnant/perdant donc la pensée binaire et aussi accompagné d’une récompense pour le gagnant et d’une punition pour le perdant qui peut être seulement l’idée d’avoir perdu ce qui veut dire accompagné d’un sentiment de honte, de découragement et de dévalorisation. La motivation vient de l’extérieur , de vouloir gagner la récompense ou de fuir la punition, elle ne vient pas d’un espace intérieur comme tu le mentionnes.

Merci de me donner la chance de t’expliquer la distinction entre compétition et émulation et pourquoi je la défini comme nocive. Dans le monde sportif, j’ai été témoin des différentes philosophies et mentalités qui accompagnent les leaders sportifs et les activités compétitives, certains sont très archaïques et utilisent encore la peur et la honte de perdre comme source de motivation et d’autres vont vers les nouvelles compréhensions du fonctionnement cérébral et savent que les états émotionnels de plaisir d’une réussite possible sont plus motivants. La compétition n’a pas les mêmes intentions que l’émulation. Mais je comprends bien que tout ceux comme @Annie_Leblond ou @varechetlichen qui ont réagit comme toi à mes affirmations sur la compétition ne parlions pas de la même chose.

Et effectivement si tu apprends la boxe ou un art martial, nous n’allons pas t’enseigner les mêmes principes moraux ou la philosophie qui sous tend la compétition . Malheureusement il est encore fréquent d’entendre un parent crier à son enfant « Tue-le » lors d’un match de hockey . Donc les principes de la compétition sont très vastes et peuvent facilement dévier vers des pratiques immorales ou l’autre devient un objet plutôt qu’un humain tandis que l’émulation est une forme de compétition saine et humanisante.

Donc désolé de vous avoir fait réagir par mes affirmations sur la compétition, je comprends bien que pour vous elle a une connotation positive car elle est davantage ce que l’émulation est pour moi.

Voici …voilà :stuck_out_tongue_winking_eye:

Je constate qu’il restait des braises dans ce débat…

Monique, ne sois pas désolée de faire réagir. Au contraire, c’est ça qui alimente la discussion et qui risque d’apporter des éléments nouveaux à chacun. Il y a autant de nuances qu’il y a de contextes (je pense à ta vidéo sur les poules). Un sujet qui amène des points de vue qui se promènent entre deux pôles, c’est tout sauf ennuyeux. Si on pensait tous pareil ce serait tellement emmerdant.

Question d’en remettre une couche, je te raconte…Mon fils de 15 ans a commencé à faire son jogging y a environ un mois. La semaine passée je lui propose de l’accompagner. J’ai recommencé à courir, de mon côté, en septembre. Je lui dis de prendre ça mollo et de laisser son orgueil de côté car je ne modifierai pas ma cadence pour l’accommoder, question de maintenir mon effort habituel. Et ben sur le dernier km sur 5, le petit diable m’a clancher pas à peu près. Leçon d’humilité totale qui se termine par une ‹ ‹ binne › › sur l’épaule et une accolade.

Une semaine plus tard. J’imaginais ces mots en grosse lettre dans mon esprit ‘’revenge’’ !
Et c’est ce qui s’est passé. Sur le dernier km, je l’ai perdu dans la brume. Pourtant, même réaction de sa part, une ‘’shot’’ à son orgueil pour finalement me retourner la même fierté que j’ai pour lui.

Je le connais assez pour savoir qu’il est émotionnellement en mesure de gérer la situation.
Compétition ou émulation ? Je pense qu’il peut y avoir du ‘’linkage’’ entre les deux. La ligne qui les sépare peut être parfois floue. On est parfaitement conscient tous les deux que cette dynamique, la même que je retrouve quand je joue au tennis avec mon voisin, pousse nos limites plus loin. On ne fera pas ça à chaque fois, dans la majorité des cas on fera notre petit jogging ‘’pépère’’ ensemble.

Un enfant doit être capable d’accepter une situation d’échec sans perdre son estime personnelle.

Si son estime se porte bien il sera en mesure de s’évaluer par rapport aux autres sans se dévaloriser. Son jugement ne sera pas altéré par un idéal utopique d’équité qui n’existe pas ou pire s’attendre en tout temps à ce que son entourage partage cette vision. La vie aura tôt fait de lui ramener cette réalité en plein visage. Il doit apprendre à accepter qu’il y a plus forts et plus faibles dans tout et savoir se positionner et collaborer dans ce contexte.

Tout est tellement une question de disposition intérieure. Les ‹ ‹ crinqués › › dans les arenas
qui gueulent après les adversaires, ou même leur propre enfant, n’ont pas besoin de compétition pour perdre les pédales, c’est un contexte parmi tant d’autres où leur manque de civisme s’exprime résultant à la base de problèmes émotionnels probablement plus profonds.

Les hormones, la testostérone peuvent bien s’emballer, et c’est parfait sauf que l’énergie qui en ressort doit être convenablement canalisée et les personnes impliquées, équilibrées.

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