✍🏻 Les mots pour vendre

[melanie.halley]

C’est incroyable Alexe!! Bravoo! Tu mérites chacune de ces réussites là.
Tu es l’exemple parfait de comment vendre en toute authenticité et je crois que ca rejoins beaucoup de monde.
On est inondé de marketeurs un peu rapaces avec des promesses creuses et ton message vient résonner au travers de tout ca.

[Matthieu_Desroches]

@Alexe Merci pour ce feedback!

Donc en gros, tu as invité les abonnés de ton infolettre au webinaire, tu as investis 150$ de pub Facebook et tu as eu toute cette participation et ces résultats?

Intéressant comme stratégie!

[Alexe (Alexandra Martel)]

Merci @melanie.halley ! Je suis fière. J’ai comme pas encore réalisé.

@Matthieu_Desroches Yep. J’avais toutefois fait des campagnes pour récolter des leads sur différentes périodes dans l’année. C’était des gens bien réchauffés.

À partir de janvier je m’offre un programme affilié et je pars des pubs en continu avec l’aide de @CharlesDavignon pour essayer d’en vendre de manière constante. À suivre !

(Fait intéressant, j’en ai vendu 3 plein prix cette semaine sans rien faire. Dont 2 nouveaux abonnés à ma liste de courriels qui ont juste vu la page via mon site web. Je pense que ça prouve l’efficacité de ma page de vente haha. )

[Olivier_Lambert]

T’es tellement inspirante @Alexe! T’es parfaite <3 !!!

[Stephanie_Creeretc (Stéphanie)]

Bravo Alexe ! Je suis tellement heureuse pour toi… et tu m’inspires !

[Edith]

T’es vraiment inspirante @Alexe.
Je suis vraiment contente de faire partie de ton aventure.

[Alexe (Alexandra Martel)]

Salut La Tranchée,

C’est le temps de faire un p’tit update icitte je pense.

Décembre 2019

En décembre, j’ai vécu énormément de fatigue. J’ai obtenu des résultats incroyables lors de mon lancement de novembre, mais au prix de beaucoup de travail. Un lancement, c’est aussi du stress. Beaucoup de stress.

Exit l’adrénaline, je suis tombée comme une roche. Pendant 2 semaines, j’ai dormi 12 heures par nuit.

Le highlight du mois? Comme j’avais explosé mon objectif financier le plus ambitieux, j’ai offert un voyage à Paris à mon petit frère. On part tous les 2 en juillet.

J’avais créé une fausse carte d’embarquement dans Crello avant d’atteindre mon objectif, parce qu’il paraît qu’il faut visualiser haha :

Pour la petite histoire, quand j’ai annoncé à mes parents qu’un jour j’allais faire du cash avec une business en ligne (juste après avoir lu le ebook à @Olivier_Lambert, Confessions d’un blogueur), ils étaient… perplexes.

Mais mon petit frère Jonathan m’a répondu, nonchalant : « Alexe, à toutes les fois que tu dis que tu vas faire quelque chose, tu le fais. Je te crois. »

Ça a été la première personne a réagir avec de l’enthousiasme plutôt que du scepticisme dans mon entourage. Il a jamais pris l’avion pis vous avez pas idée à quelle point j’suis heureuse de lui offrir ça.

Janvier

Je donnais 3 conférences en janvier, dont un atelier dans un gros événement de RH à Montréal.

J’étais un peu stressée parce que c’était la première fois que je donnais un atelier dans un contexte plus corporatif. Ça s’est super bien passé. Plusieurs personnes m’ont dit que c’était leur moment fort de la journée. Mettons que ça m’a donné confiance pour la suite.

En parallèle, je me suis occupée de ma grosse cohorte d’étudiants dans Un mot à la fois. Je tripe sur mon concept des cliniques sans rendez-vous. Pis je pense qu’ils en retirent beaucoup de valeur.

J’suis aussi en train de revoir ma stratégie d’aimant à clients… Je n’aurai plus d’aimant à clients, en fait. Je vous donne plus de détails là-dessus le mois prochain.

Février

Ce mois-ci, mon focus, c’est Ka-Ching, qui se termine vendredi.

Je vends maintenant ma formation en evergreen, et je trouve ça génial. Comme après chaque gros lancement je vivais beaucoup de fatigue, je ne pense pas que ce serait un mode de fonctionnement super pour moi à long terme.

Mais là, je suis affiliée. Geneviève Gauvin s’occupe de tout, j’ai juste à envoyer des courriels de vente pis faire la piastre haha. Ça me fait réaliser à quel point c’est le fun, comme mode de fonctionnement.

Faut dire que le deal est incroyable (et donc facile à vendre) : 15 formations, 147$. (Yep, ça revient à 9,80$ la formation.)

Ça finit vendredi.

Après ça, je retombe dans mon nouvel aimant-à-clients-pas-aimant-à-clients. Je tue les mini-trucs pour tester quelque chose d’audacieux, mais qui me ressemble plus.

On s’en reparle en mars?

[Jean-Sebastien_Gagne (Jean-Sébastien Gagné)]

Au plaisir de boire tes créations alcoolisées le mois prochain !

[Alexe (Alexandra Martel)]

Haha promis ! Je vais me préparer des recettes.

[Alexe (Alexandra Martel)]

Mon nouvel aimant-à-clients-pas-aimant-à-clients

Je capote ce matin.

J’ai mis en ligne, après des dizaines d’heures de travail, les 2 premières partie d’un texte sur lequel je travaille depuis plusieurs semaines.

En fait, si je suis honnête, j’y travaille depuis plusieurs mois, voire une couple d’années.

Depuis quelques mois, je m’intéresse à un aspect du copywriting qui est un peu laissé de côté : les croyances.

Tous les copywriters savent ce qu’est une « grande idée » (the big Idea). Tous les copywriters savent transformer des caractéristiques en bénéfices. Tous les copywriters savent qu’il faut toucher des désirs et des points de douleur pour vendre. Tous les bons copywriters connaissent le spectrum of awareness d’Eugene Schwartz et les principes de Cialdini.

Mais trop peu de copywriters s’intéressent aux croyances de leurs clients.

Qu’est-ce que mon client doit croire avant de faire affaire avec moi?

C’est une question qui m’obsède depuis que je suis tombée sur le principe des chaines de croyances.

Y a quelque chose qui vient me chercher là-dedans. Je me rends compte que toutes les personnes qui m’ont convaincue de manière « profonde » ont changé mes croyances.

@Olivier_Lambert, par exemple, a changé ma croyance que c’est impossible de fais de l’argent en ligne au Québec, en français.

J’ai donc fait ce que je fais toujours quand quelque chose me fascine : j’ai hyperfocusé là-dessus.

Je me suis mise à dévorer tout ce que je pouvais trouver sur les croyances, et surtout, comment changer ou faire évoluer une croyance.

Je suis même retombée dans la philo (y a pas mal de philosophes qui se sont questionnés là-dessus).

J’ai absorbé beaucoup, beaucoup d’information…

Pis j’ai décidé de mettre tout ça en pratique.

J’ai écrit un looong texte en 5 parties qui n’a qu’un seul but : cibler des personnes qui ont déjà intégré ou sont susceptibles d’intégrer certaines croyances.

Lesquelles? Celles que mes clients doivent avoir intégrées avant de faire affaire avec moi.

C’est un exercice extrêmement intéressant à faire, d’identifier ces croyances. Je trouve que c’est encore plus profond et révélateur que l’avatar.

Le texte est polarisant, et joue beaucoup sur le concept de self-identification.

Je veux que les gens le lisent et que ça résonne pour eux, qu’ils se sentent « appelés » ou « compris ».

Je mets ça en ligne tranquillement cette semaine, au rythme d’une partie par jour…

Pis à date, la réponse est bien au-delà de mes attentes.

Bon, j’ai frustré une couple de personnes (c’est normal, c’est le but du texte d’être polarisant), mais j’ai surtout reçu une avalanche de commentaires positifs.

Le morceau le plus « important » du texte, c’est celui où je présente « la solution ». Pis où j’essaie de vendre mon programme.

Si tu veux suivre ça, c’est sur mon blogue :

Personne ne veut lire ton maudit ebook (1/5) - Les mots pour vendre

Éventuellement, je vais pitcher plein de trafic payant là-dessus. Dans la dernière partie de l’article, j’invite les gens, si ça leur parle, à recevoir des courriels où je leur vends ma formation.

Je suis super fébrile de voir ce que ça va donner.

[Pascal_Cabana]

j’ai déjà hâte au 4e
je n’ai jamais reçu de email hier pour la partie 2

[Alexe (Alexandra Martel)]

C’est voulu ! Je prends ça relax. Je vais envoyer 1, 3 et 5 par courriel.

À date j’ai des réponses hyper positives, mais j’avoue que c’est la partie 4 qui me « stresse » le plus : chialer c’est facile, mais quand on propose des solutions, on se mouille.

[Pascal_Cabana]

la seul chose que j’aime pas c’est que tes liens n’ouvrent pas dans un autre onglet par défaut

[Alexe (Alexandra Martel)]

Ah! Genre les liens externes? J’avais même pas pensé à ça. Bon point.

[Pascal_Cabana]

Oui c’est ça… obligé de faire back pour revenir a l’article…

moi je préfère dans un autre onglet ,mais en réalité je n’ai aucune idée ce que les gens préfère en réalité…

[AlexTremblay (Copywriter)]

Il n’y a rien de stressant là dedans avec le genre de lead que tu as fait. Le reste il va y avoir 20% qui vont se convertir tout seul, 60% qui vont balancer entre le oui/non et 20% qui n’embarqueront assurément pas dans ta solution.

Perso, je crois que tu as bâti quelque chose de solide qui va rester dans le temps. Si tu as pris la peine de faire attention au SEO et que ton article n’est pas fantôme avec Google comme 94% du reste tu vas être gagnante c’est sur!

Belle initiative et très bien écrit!

Félicitation

P.S Même si tu veux envoyé des gens là dessus en PPC. Je pense que le plus rentable va être organique avec la qualité de ton article à long terme

[Olivier_Lambert]

By the way @Alexe, je pense que tu vas être contente de lire les reviews qu’on a reçu hier sur notre podcast:

‎Scotch et Domination Mondiale - La Tranchée: podcast pour marketeur et...

Le monde ont trippé sur toi! <3

[Ricky]

Oui, bonne continuation!
Et les mots pour vendre, ou le « copywriting », c’est, je pense, très pointu et à la fois nébuleux comme domaine. Les techniques sont très vastes, donc deux techniques peuvent permettre d’en arriver à peu près au même résultat parfois. Je vous souhaite de trouver votre bonne technique, et ça semble très bien parti.

[meublesdepot (Meubles Dépôt)]

Full inspirant tout cela!

[Kimy (Kim Auclair)]

Je suis en train de suivre ta formation sur La Tranchée. C’est parfait.