Je veux que mes mots vous offrent l’abondance financière. Et m’achètent une villa au soleil!
Fils d’une famille immigrée, je n’ai jamais été bercé dans un univers littéraire. Pour tout vous dire, j’ai lu mon 1er livre à 18 ans. Pris d’ennui, claquemuré dans un hôpital en attendant que ma saleté de genou veuille bien guérir, j’ai ouvert le Cid de Corneille. J’ai aimé, mais ce n’était pas vraiment la révélation.
Celle-ci arrive un peu plus tard…
Avant ça, il faut savoir que j’ai toujours eu de la facilité à l’école, ce qui m’a mené à fréquenter les hautes écoles et les universités de mon pays d’accueil, par la force des choses.
C’est précisément quand, au détour d’un cours aussi inintéressant que les autres, j’ai rencontré une fille qu’on appelle communément de bonne famille. Autrement dit, d’une autre origine sociale que la mienne. Son père était à la fois un auteur, poète, professeur universitaire et politique. Sa maman, médecin. Ses frères, artistes.
C’est en la fréquentant que j’ai compris ce que je n’avais pas eu et ce que je voulais offrir à mes enfants.
J’ai commencé à dévorer les livres comme si ma vie en dépendait. Je voulais rattraper mon retard, coûte que coûte. Que la distance qui me sépare mon idéal s’érode au plus vite. J’ai lu plus de 100 bouquins par an, pendant 6 ans.
Je voulais devenir professeur, moi aussi. De français, sociologie ou histoire. Qu’importe la matière, pourvu que j’aie la poétesse!
Avez-vous déjà été confronté à un événement inattendu qui a changé complètement votre vie? C’est ce qui m’est arrivé alors que je suivais tranquillement mon cursus universitaire.
Mon grand-père, qui venait de fêter sa retraite il y a 1 année de cela et était sur le point de réaliser le rêve d’une vie - une villa magnifique dans son village d’origine, sous le soleil d’Italie du sud - s’était éteint.
Mon grand-père était ouvrier au sein de centrales nucléaires et travaillait pour plusieurs usines de la zone. Il était payé à la pièce. Après ses dures journées de labeur, il promenait le chien d’un riche domestique du village où il résidait. Disons-le franchement, une vie d’esclave. Mais avec un rêve lumineux au bout de ce chemin sinueux.
50 ans de privation et d’attente, de conformité aux règles et de patience, pour souffler sa flamme au moment fatidique!
Je me suis dit que je ne voulais pas d’une vie toute tracée, je ne voulais pas promener des livres écrits par d’autres et je ne voulais pas attendre 50 ans pour réaliser mes rêves.
Moi aussi, je la veux, cette villa. Alors j’ai décidé que ce sont les mots français, que j’ai appris à la sueur de mon front, qui vont maintenant travailler pour moi. Ce sont mes marionnettes. Je tire leurs fils pour animer les textes que je produis.
Je n’ai pas l’ambition de devenir écrivain… j’aimerais aider les autres à mieux communiquer, et donc vendre, tout simplement. Leur apprendre à écrire l’histoire de leur vie, de leur business, de leurs produits. A écrire des pages de vente qui vont changer leur vie. Qu’ils s’enrichissent de leurs créations!
Les mots bien agencés ont un pouvoir incroyable. Ils inspirent, fédèrent, convertissent. Ils forment des idées qui changent le monde dans lequel on vit. Surtout, ils rapportent de l’argent!
C’est exactement ma vision du marketing: inspirer, fédérer, vendre (ou convertir). C’est pourquoi je suis ici: transformer les mots en argent.
Je suis ravi d’être sur le forum et je me réjouis d’échanger avec vous.
Loris C. www.copywriting-francais.com