Vos trucs pour manger un éléphant

Alors?
Quand vous vous attaquez à un gros projet, avez vous une méthode? De pomodoro à un plan détaillé ou plutôt pas de méthode du tout. Raconte ça ici!

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Bon matin ^^.

En ce qui me concerne, lorsque je m’attaque à un gros projet, j’ai plutôt tendance à m’écrire un genre de rapport de projet, en divisant en de plus petits objectifs, afin de bien structurer mes idées et surtout m’aider à atteindre mon objectif final. De cette façon, je me décourage pas à la vision du défis qui m’attend et je m’attarde seulement au prochain petit objectif. De cette façon, c’est beaucoup plus motivant pour moi ça me permet de ne pas me perdre en route. Ça structure mes idées et mes objectifs. Au final, de cette façon, je réussis à atteindre et terminer le projet que je m’étais lancé.

Une bouché à la fois!

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La première question à te poser est “Es-tu obligé de le manger seul?”

Est-ce qu’il y a des tâches que tu peux déléguer qui faciliterait le processus?
Lorsque je suis face à un projet d’envergure et que j’en suis le seul responsable, je vais souvent diviser mes tâches non pas selon la chronologie à tout prix, mais plutôt par type d’environnement qui m’aiderait à être optimale.

Souvent, en groupant des tâches selon un cercle sociale, je nourris ma motivation à l’idée d’aller travailler sur un projet X en compagnie de partenaires qui doivent travailler sur des projets Y mais qui ont des composantes semblables.

Je bénéficie donc d’un focus complet sur mes tâches, sans souffrir d’isolement (qui mène à une perte d’éfficacité), en plus de pouvoir utiliser l’expertise de personne de confiance si je suis dans un cul-de-sac.

Je ne me perd pas dans une ventilation trop détaillé des étapes sachant que y’a jamais rien de parfait.

Je me fait une planification basé sur la date final que je reverse engineer pour savoir exactement combien de tâche je dois faire minimalement par jour.

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C’est une très très bonne question!

J’en parle brièvement dans Double Ta Valeur. Les choses sont plus souvent complexes que difficiles. C’est-à-dire qu’il s’agit d’une looooooongue liste de tâches simples, plutôt qu’une courte liste de choses difficiles.

Mon approche est simple: je décortiquer chaque étape et j’applique le just in time learning. Si on ne sait pas comment réaliser l’étape 35, eh bien il ne faut pas que ça nous retarde dans la mise en place des étapes 1 à 34.

Le motto: on traversera le pont quand on y arrivera!

Il ne faut pas que l’ampleur de la tâche fasse peur. Il faut prendre une bouchée par jour et être patient.

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Je seconde @Olivier_Lambert dans la longue liste de tâches simples. Le simple fait de rayer des items de ta to-do list va te donner un sentiment d’accomplissement (bref ça fonctionne pour moi). Je te conseil de commencer par le MUST de tes tâches, ceux qui vont avoir le plus de conséquences (positives si tu les fait, et négatives si tu ne les fait pas). Ensuite, les petites tâches qui te prennent 2 minutes. Pour finir avec les tâches +/- importantes et que…tu peux déléguer :slight_smile: (si tu peux te le permettre bien évidemment). La matrice d’Eisenhower reflète bien les catégories que tu peux utiliser:

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Un voyage de mille lieues commence toujours par un premier pas. faire des pas tout les jours.

Ho !!! Ca ca vas m’aider …

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Pour ma part, j’attaque toujours le projet étape par étape. Je me suis rendu compte, par expérience, que d’écrire un espèce de plan d’attaque ne m’aide pas vraiment et me fait perdre beaucoup de temps.

Pour moi, j’avance un pas à la fois et je traverse les obstacles une à une lorsqu’elle ce présente.