Il y a une question qui me tracasse légèrement. Quand on parle de travailleur autonome, de solopreneur ou entrepreneur, est-ce que ce sont tous des synonymes?
Est-ce que ça dépend des employés, du nombre de clients ou même du revenu brut mensuel?
Si vous avez des réponses ou des connaissances sur le sujet, j’aimerais bien vous lire.
Merci.
Désolée, je n’ai pas de réponses, mais j’aimerais bien plus d’informations aussi.
Mais vous avez mis votre réponse, c’est apprécié!
Un entrepreneur est un « chef d’entreprise », peu importe de quel type d’entreprise il s’agit, que ce soit une entreprise individuelle, une compagnie, etc.
Un travailleur autonome réfère la plupart du temps à quelqu’un qui travaille « à son compte »: consultant, pigiste, notaire ou avocat à son compte, photographe, etc. Souvent, les travailleurs autonomes ont une entreprise individuelle qui porte leur nom personnel.
Solopreneur est souvent utilisé comme synonyme de travailleur autonome, mais j’ai l’impression que ça réfère plus souvent à une entreprise qui est opérée par une seule personne, que ce soit une entreprise individuelle ou une compagnie.
Ex. quand Olivier était consultant, il était travailleur autonome. Quand il a fondé La Tranchée mais qu’il était encore seul à bord, on l’aurait plutôt catégorisé de « solopreneur ».
Voici un peu de documentation officielle sur le sujet:
http://www.registreentreprises.gouv.qc.ca/fr/demarrer/differentes-formes-juridiques/
Le nombre d’employés va plutôt influencer si c’est une tpe, une pme etc. Le revenu brut va influencer à quel point ce serait un bon move financier ou pas de changer la forme légale de l’entreprise.
Mais bon, je suis loin d’être experte en la matière, donc s’il y en a qui ont à me contredire, ne vous gênez pas! 
Bonjour,
Je vais compléter ce que Mélissa a indiqué avec quelques détails…
Un-e solopreneur-e, ce n’est pas un titre officiel mais qui est plutôt né dans la langue populaire, par contraction de solo et entrepreneur. C’est simplement une personne qui a une entreprise constituée légalement (incorporée comme société par action, ou comme organisme à but non lucratif ou une autre forme alternative de personne morale – donc pas physique) et qui est seule à l’opérer. C’est donc une sorte d’entrepreneur-e. Ç’est souvent une phase de l’entreprenariat, avant qu’on se trouve des partenaires.
Un-e travailleur-e autonome, ou encore propriétaire d’entreprise individuelle est une forme juridique en soi, qui est en fait par défaut et qui ne requiert au départ aucune papier ni enregistrement. Ici, lea travailleur agit en son nom et la personne morale est égale à la personne physique. Par contre, à la différence de l’employé-e, iel est payé-e par facturation suivant un contrat de vente, plutôt que par salaire suivant un contrat d’emploi. Iel doit donc faire ses propre calculs de retenue pour payer des impôts et possiblement percevoir des taxes (si le revenu taxable = vendu et livré au Canada si lea TA est Canadien-ne) est au delà de 30K$. (Dans d’autres pays, les règles sont différentes !)
Ex:
Comme tu vois, on peut modifier les approches. Par contre, ce n’est pas une bonne idée de mélanger TA et entrepreneur (incluant solo), car le fisc risque de voir une tentative d’évasion fiscale. À partir du moment où on est propriétaire à 50% ou plus d’une entreprise, on ne peut plus être TA sans charger les taxes. De toute façon, ce ne serait pas avantageux pour vous fiscalement.
J’espère avoir clarifié les choses…
Mélodie… 
(t’inquiètes, ça m’arrive tout le temps, ça ou Mélanie!)
Omg. Désolé Mélodie…
Ma blonde Mélanie, elle c’est Martine qu’elle se fait toujours appeler. Pis a mon mariage, le curé m’a appelé José. Hehe
Hahaha aucun problème 
Quoiiiii!! ça par contre, ça doit créer un drôle de malaise!! 
Plutôt un rire poli généralisé 
.
En fait, il y avait deux curés, un très âgé qui avait aussi marié nos beaux parents et qui a eu cette confusion. Et le nôtre, plus jeune, qui a rectifié la situation éventuellement.