Je n’ai jamais eu le syndrome de l’imposteur.
Même à 22 ans, sur un stage devant 1000 adultes plus expérimentés que moi, je ne me suis jamais senti « pas à ma place ».
Pourquoi?
2 raisons.
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Je n’ai JAMAIS utilisé un argument d’autorité. (Crois-moi parce que c’est moi qui le dit.) J’ai toujours partagé le processus et la méthode + les résultats.
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Je n’ai jamais délégué. Tout ce que vous voyez sur le site de La Tranchée ou des Bunkers, c’est moi qui l’ai fait.
Chaque ligne de code, chaque choix de design, chaque intégration et automation. Du CRM au LMS jusqu’au portail de facturation.
J’ai filmé moi-même toutes mes vidéos. J’ai pris MES caméras, MES micros, MES lumières… J’ai tout fait, du montage jusqu’à l’upload.
J’ai rédigé chaque infolettre, créé chaque pub, chaque landing page.
J’ai tout appris sur le tas et je n’ai jamais eu de coach ou de mentors et je n’ai jamais suivi de formation.
Sans doute que tu te dis: « Wow, j’aimerais ça, moi aussi, être capable de faire ça! ».
Be careful what you wish for.
Si tu fais TOUT, ton entreprise devient ton bébé. C’est vraiment difficile de déléguer quand tu as un attachement émotionnel aussi fort. Personne ne veut qu’un inconnu échappe ton bébé!
Bref, mon immunité au syndrome de l’imposteur a été, par le passé, un avantage considérable. Maintenant, c’est un boulet qui m’empêche d’avancer.
Depuis le début de l’année, j’ai lu E-Myth Mastery, High Output Management, The Goal, The Phoenix Project, Franchise Your Business, The 5 dysfunctions of a Team, The Ideal Team Player et maintenant celui-ci: Deep and Deliberate Delegation.
J’ai un problème, je l’accepte… C’est maintenant le temps de le régler.
Takeoff soon!