La plaie des médias sociaux

Aujourd’hui, je suis tombée sur cet article. Je constate que mon histoire est aussi l’histoire de plusieurs entrepreneurs.

Vive les infolettres!

Cela dit, cela va-t-il provoquer la chute de ces médiaux sociaux?

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Hey Annie, c’est cool que tu aies trouvé un écho à ta propre expérience dans cet article ! Les infolettres peuvent effectivement être un super moyen de garder le contact avec ta clientèle sans dépendre à 100 % des réseaux sociaux.

Alors, pour ta question, est-ce que ça pourrait provoquer la chute des réseaux sociaux ? Eh bien, c’est pas si simple, tu sais. Les réseaux sont super intégrés dans notre quotidien et dans les stratégies marketing des entreprises. Mais c’est vrai que beaucoup commencent à réaliser les risques de mettre tous leurs œufs dans le même panier virtuel.

En fait, beaucoup d’entreprises diversifient leurs moyens de communication pour éviter de dépendre uniquement d’une plateforme. Les infolettres, le référencement naturel (SEO), les sites web, les blogs, et même les événements en personne, tout ça peut aider à construire une relation plus directe et durable avec les clients.

Tu penses que ta boîte pourrait bénéficier d’un mix plus équilibré entre les différents canaux de communication ? C’est peut-être le moment idéal pour explorer d’autres options et réduire un peu la dépendance aux réseaux, sans forcément les abandonner complètement. Qu’en dis-tu ? :rocket:

C’est déjà fait! En fait, j’ai misé sur mon infolettre bien avant que l’on commence à parler de moins miser sur les médias sociaux. C’est quand j’ai voulu reprendre la pub FB que j’ai été bloquée.

Présentement, je travaille surtout mon SEO pour attirer des visiteurs.

Allo! Pour ma part, Je ne lis pas les journaux et mon marché à moi n’est pas internationale et FB se rempire ‹ organiquement › et même quand on paie! Chacun de mes publicité n’atteigne JAMAIS leur but et je n’ai que très peu d’espoir de ma visibilité mais j’avoue que Twitter nouvellement X pete des records!! Est-ce que La presse est dans le champ?

Ahhhhh les maudits médias sociaux.

On a beau être fâché contre eux, on a quand même besoin d’eux. ^^’

Je dois avouer que de m’être fait banni d’Instagram m’a un peu refroidit de l’empire de Zuckerberg. Je suis présentement en train d’explorer TikTok, on verra ce que ça donne.

Je compte bien tester la publicité Twitter (X) aussi prochainement! De ce que j’ai compris, il n’y a pas beaucoup de compétition alors le CPM devrait être pas mal plus bas que sur Facebook.

@Robolivier, peux-tu nous faire un petit résumé de cet article stp: Le risque de tout miser sur les réseaux sociaux | La Presse

Salut Olivier! Ça roule?

C’est vrai que les réseaux sociaux peuvent être à la fois une bénédiction et une malédiction pour les entrepreneurs. Et tu as raison, malgré les frustrations, ils restent un outil clé pour atteindre notre public.

Pour TikTok, c’est sûr que ça vaut le coup d’essayer, surtout si ta cible est là-bas. Et pour Twitter, avec les changements récents, ça pourrait être intéressant de jeter un œil, vu que les coûts de pub pourraient être avantageux.

Malheureusement, je peux pas te faire un résumé de l’article de La Presse, parce que je n’ai pas accès au contenu complet juste avec une capture d’écran. Mais en gros, le thème c’est les risques de trop dépendre des réseaux sociaux. Ça parle de l’importance de diversifier les stratégies de communication et les plateformes pour éviter de se retrouver coincé si jamais y a un problème avec une plateforme spécifique.

Si tu veux discuter des stratégies alternatives ou des tendances récentes sur les différentes plateformes, je suis là pour en jaser!

C’est plate, je croyais que GPT4 aurait pu naviguer sur les urls externes. :frowning:

Bref! Sur l’article, on peut y trouver une citation qui résume bien mon mécontentement:

Tu as beau dépenser 200 000 $ de pub par année, ils n’ont pas de service à la clientèle. Ça m’a un peu traumatisée.

– Marilyne Bouchard, fondatrice et PDG de BKIND

Voici le résumé de ChatGPT. J’ai inséré l’URL.

L’article de La Presse aborde les risques et défis que rencontrent les entreprises en s’appuyant principalement sur les réseaux sociaux comme Facebook, Instagram, et TikTok pour leur marketing et leurs ventes. Ces plateformes, tout en étant des outils de marketing essentiels, peuvent présenter des problèmes comme des piratages, des changements imprévus de conditions d’utilisation, une hausse significative des tarifs publicitaires, ou même la fermeture inopinée de comptes. L’article illustre ces enjeux à travers l’expérience de plusieurs entreprises, dont Ken & Jame et BKIND, qui ont souffert de piratages et de blocages de comptes, entraînant d’importantes pertes financières et opérationnelles.

Face à ces risques, certaines entreprises, comme BKIND et Ken & Jame, cherchent à réduire leur dépendance aux réseaux sociaux en diversifiant leurs canaux de vente et de communication, comme la création de sites web propres et l’envoi d’infolettres. En outre, l’article mentionne que Meta, propriétaire de Facebook et Instagram, n’a pas commenté sur ces cas spécifiques.

L’article met également en lumière les stratégies adoptées par d’autres entreprises pour réduire leur dépendance aux réseaux sociaux, soulignant l’importance de diversifier les canaux de communication et de vente. Virgile Ollivier, PDG de Livescale, suggère de réduire la part des dépenses publicitaires sur les réseaux sociaux et d’allouer une partie du budget à des expériences d’achat uniques pour se différencier【15†source】.

Enfin, l’article propose cinq conseils pour diminuer la dépendance aux réseaux sociaux : rendre son propre site plus attractif, diversifier les placements publicitaires, utiliser ses propres services pour bâtir une base de données client, en apprendre davantage sur sa clientèle, et soigner sa réputation par un service client impeccable et des produits distinctifs.

C’Est très révoltant.

Merci pour cet article qui confirme que j’ai bien fait de ne pas tout miser sur les réseaux sociaux.

En effet, Vive les infolettres!

J’ai « découvert » qu’on pouvait utiliser les réseaux sociaux pour notre entreprise en 2008, mais j’avais déjà une infolettre depuis 2006. J’ai toujours misé principalement sur le contenu de mes blogues et ma liste.

C’est avec mon infolettre que je fais la majorité de mes ventes.

Je préfère payer mes affiliés, créer des partenariats avec d’autres entrepreneurs, plutôt que de la pub sur les réseaux sociaux qui ne donne que des miettes.

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