Avec les réseaux sociaux, on voit une forte augmentation de messages haineux et de commentaires désobligeants face à monsieur et madame tout le monde, mais aussi aux influenceurs et j’en passe.
Bon, voici ma question. Est-ce qu’il y a quelqu’un qui fais une formation sur comment se protéger des commentaires haineux et désobligeants sur les réseaux sociaux? Une personne du genre psychologue ou coach de vie? Parce que dès que tu commences à plus t’afficher, plus la critique arrive vite sur tout et n’importe quoi. Cette formation serait pertinente autant pour les influenceurs que pour les gens d’entreprises.
Sinon je lance l’idée si quelqu’un veut la prendre et la développer. Ça pourrait être pertinent.
Mes recherches n’ont rien donné sur les formations sur la cyberintimidation offertes aux utilisateurs professionnels ou non des réseaux sociaux. Comment prévenir, comment réagir, comment se défendre, ressources… J’avoue que ce serait intéressant…
Il y a le fait aussi que je trouve que sur les réseaux sociaux il n’y a pas nécessairement de cadre et de politique efficace sur la cyberintimidation. Je le considère un peu comme le nouveau FarWest.
Il y a des politiques, mais seulement en cas de menaces ou de haine ségrégative. Il n’est pas interdit de dire des gros mots ou d’insulter. Cela ouvrirait les réseaux sociaux à une police de la moralité. Est-ce souhaitable ?
Si oui, alors il faut s’en tenir à ne visiter que des pages modérées où chaque commentaire doit être approuvé. Je pense que l’auto-défense intellectuelle est ici la meilleure compétence à développer.
Si vous croyez que c’est le Farwest présentement, imaginez les pauvres agents qui doivent lire les tonnes de messages et surtout d’images signalés sur Facebook… Il parait que certains sont traumatisés (réel trauma psychologique requérant un traitement) après avoir vu des images.
Bref, oui, il y a clairement un beau cours à faire à ce sujet.
Ce livre s’adresse aux auteurs, mais je crois qu’il pourrait être utile aussi dans d’autres professions. Ça parle de « crise » mais ça revient un peu à faire face à une tempête de cyberintimidation.