À mon avis, tout dépend des commerces que tu veux approcher. J’ai déjà eu à contacter des commerces pour placer des livres en boutique et ce que j’en tire est qu’une petite boutique de quartier ne répond pas à la même approche que, par exemple, Renaud Bray ou d’autres grands libraires! ^^’
Dans mon cas, l’approche en personne n’a jamais été si fructueuse et demande BEAUCOUP de temps. La personne responsable de prendre ce genre de décision n’est pas nécessairement souvent présente en boutique. L’approche par courriel n’a pas donné beaucoup de réponses non plus, sauf chez certains petits commerçants qui étaient assidus sur la prise de leurs messages.
Là où j’ai eu les meilleurs résultats, c’est au téléphone. En appelant et en expliquant la raison de ton appel, tu es immédiatement référée à la bonne personne à qui tu peux parler (si tu as de la chance) ou à qui tu peux laisser un message vocal. Dans ce cas-là, prends bien en note le numéro de poste et le nom de la personne ressource, car il faut souvent appeler 6 fois pour finir par avoir une réponse…
À partir de là, c’est plus facile par la suite d’envoyer des documents par courriel qu’ils vont prendre la peine de lire, parce qu’ils sont déjà introduits à ton produit et s’attendent à recevoir quelque chose de ta part.
Aussi, pour les plus petits commerçants, certains seraient peut-être plus intéressés à avoir l’agenda en consignation plutôt que les acheter pour les revendre. Ça ne leur demande pas d’investissement de départ, et ils ne sont pas responsables d’assumer les pertes financières des invendus. Ça peut aider à en convaincre plusieurs!
Finalement, en boutique il y a aussi la question du % de commission. En librairie, c’est généralement du 40%. Je ne sais pas si tu vends l’agenda au kiosque le même prix que sur le web, mais c’est à ne pas négliger pour le calcul de ton profit.
Bref, j’espère que ma réponse pourra t’être utile!