ÉNORMÉMENT de gens se disent:
J’aimerais partir mon entreprise, mais je n’ai pas encore trouvé « la bonne idée ».
Rappelez-vous de vos débuts… Peut-être que ça fait des années, peut-être que ça ne fait que quelques mois.
Comment avez-vous trouvé votre idée?
Est-ce que tu as fait un brainstorm? Est-ce que ça t’es venu soudainement en prenant une marche?
Si vous aviez à aider quelqu’un qui se pose présentement cette question, qu’est-ce que vous lui diriez?
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Mon entreprise a commencé par un besoin de combler une faille dû à la pandémie. Quand tout a fermé, même les églises, je devais trouver des moyens pour rejoindre mes paroissiens. Plusieurs idées ont émergées. Des capsules pour la radio locale de 15 minutes. Cette habitude a permis de commencer un podcast (spiritualitécatho) que j’ai négligé depuis 1 an. Cela a permis de créer une chaîne Youtube (Notre pain de ce jour) qui aujourd’hui encore est alimenté à tous les jours, par une messe enregistré. Cette chaîne est encore en expansion. Alors, oui, la pandémie a été un élément déclencheur pour quelqu’un qui ne voulait pas être un communicateur. Maintenant, la tête me bouillonne pour la prochaine étape.
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Très intéressant! Je crois qu’il y a énorméments d’entrepreneurs qui sont né pendant la « crise » du COVID.
Quant à moi, ma première « entreprise » s’appelait le WETS pour Web En Toutes Sécurités.
J’allais chez les gens leur demander s’ils avaient des choses à vendre et j’allais ensuite les vendre pour eux sur eBay en prenant une commission. Je n’ai pas eue l’idée, j’ai juste fouillé sur Google jusqu’à ce que je tombe sur un eBook qui proposait ça comme façon de se partir dans le eComm!
Pour mes formations en ligne & La Tranchée, je me suis inspiré de ce qui existait aux États-Unis et j’ai eue la présence d’esprit de me dire que cette industrie allait finir par faire son chemin sur le marché Québecois.
Ma seule idée « originale », je crois, est celle de mon entreprise de studio vidéos intelligents.
Par contre, si je regarde mon pattern de décisions face à mes idées, je dirais que j’ai toujours essayé d’anticiper le marché et de bien me positionner pour répondre à la demande sans avoir trop de compétition.
Je pense que c’est une bonne approche et c’est ce que je recommanderais à quelqu’un qui souhaite se partir une entreprise aujourd’hui!
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Mon problème est que j’ai à l’inverse trop d’idée et plusieurs choses qui m’intéressent. Mais pas assez d’une vie pour tout faire ou créer toutes ces entreprises.
Pour répondre à ta question, comme j’aide les gens dans le domaine de l’employabilité, trouver ce qu’ils veulent faire, etc.
Je pense que j’utiliserais mes techniques que j’utilise avec mes clients pour aider une personne qui dit ne pas avoir d’idées. Je dirais à cette personne de voir ses forces, ce qu’elle aime, ce qu’elle déteste et de là, il peut sortir bien des choses.
Et sinon, je lui dirais va t’ennuyer une semaine, ton cerveau va travailler pendant ce temps à te créer des idées.
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Avec TikTok, maintenant c’est impossible de s’ennuyer! C’est vraiment problématique d’ailleurs. Notre cerveau a besoin de l’ennui!
Pour ma part, soit c’était pour régler mon propre problème (perte de sens dans mon activité de création de site internet à l’époque), soit on m’a demandé comment faire pour réussir ce que j’ai réussi (Publier pour Impacter).
Evidemment, il a fallu faire des choix et prioriser car des opportunités ce n’est pas ce qu’il manque ^^.
Un des moyens pour moi de prioriser les projets, c’est d’écouter mon coeur, mon ressenti, mes envies. Par exemple, je KIFF bosser sur l’écriture de livres et la création de jeux et cela m’a amené à bosser dans ces domaines.
En tous les cas, être à l’écoute de son marché et valider en étant à l’écoute de soi, c’est pour moi une recette d’une activité épanouissante ^^.
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Oh la belle question!
C’est un doux mélange de congé de maternité qui finit et d’un haut le cœur fasse à un retour dans un milieu salarié.
On s’entend. Je suis formatrice en périnatalité, plus précisément pour le Peau à peau et le portage des bébés. C’est plutôt rare que Quelqu’une tombe là-dedans sans avoir expérimentée soi-même les avantages.
Depuis, ça pris une tangente très geek neurosciences et je suis toujours emballée de présenter l’inconnu ou le méconnu aux pro de la périnatalité.
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