Salut a vous tous,
Je devrais aussi joindre le groupe de reseautage BNI. Est-ce que vous avez des experiences positives ou negatives vis-a-vis le groupe?
Merci,
Richard
Salut a vous tous,
Je devrais aussi joindre le groupe de reseautage BNI. Est-ce que vous avez des experiences positives ou negatives vis-a-vis le groupe?
Merci,
Richard
J’ai pas d’expérience spécifiquement avec BNI mais j’ai essayé quelques groupes de réseautage, tel que groupe Réso et Let’s Get Going.
C’est pas mal tout du pareil au même. Selon moi, le gros problème avec ce type de groupe c’est que y’a que des vendeurs et aucun acheteur. La plupart des gens qui vont à ce type de réseautage le font parce que c’est, selon eux, un mal nécessaire pour la croissance de leur entreprise.
J’avais payé 780$ pour 6 mois pour faire partit de Let’s get going. J’ai choisi de payer cher parce que je m’attendais à ce qu’étant donné que le prix était assez élevé, j’allais m’adresser à des gens engagés et commit. God que j’avais tord. Il y avait parfois un taux d’absentéisme dépassant le 50%. Principalement au creux de l’hiver.
à 130$ le meeting, on sirotait du café en parlant du beau modèle d’entreprise qu’est Tesla. C’est à ce moment précis là que j’ai décidé de couper la corde.
Hum ouais j’ai entendu beaucoup de mauvais commentaire sur d’autres réseaux que BNI. On m’a bien dit que l’absentéisme n’est pas bien vue et que ceux avec des taux trop élevé perdent leur spot. Je vais aller a ma 3e rencontre la semaine prochaine et je continu d’évaluer ça. à
Merci pour le commentaire…
J’ai participé à quelques rencontres BNI à titre de remplaçante (on a le droit de se faire remplacer quand on est membre, à ce moment on n’est pas pénalisé pour absentéisme).
À mon avis, c’est plus axé et profitable pour les entreprises qui ont besoin d’une clientèle récurrente. Ceux pour qui ça fonctionnait le mieux dans le groupe étaient coiffeuses, agent d’immeuble, massothérapeute, garagiste…
Chacun n’a que droit de parole pour se présenter autour de la table, puis c’est la personne qui a la présentation du jour qui parle. Faut dire qui a référé qui et pourquoi, prouver qu’on a fait au moins une rencontre en personne avec un autre membre pendant la semaine…
Bref, j’ai trouvé le tout très énergivore pour peu de rentabilité.
Y’a des façons plus intéressantes de réseauter avec les gens du milieu, comme les chambres de commerce par exemple.
J’ai fais quand même pas mal de réseautage, et je préfère largement les groupes où la participation est libre. Pas “d’exclusivité”, de participation obligatoire, etc. Des vrais sectes ces affaires-là. Et ça ne donne rien de plus concrètement… de plus les concepts anti-concurrence c’est fondamentalement contraire aux principes naturels du business. À mon avis, c’est même une bonne introduction à l’esprit de collusion…
Dépendant du type de commerce que l’on fait, il est quelques fois plus avantageux de faire du réseautage dans des milieux pas forcément prévu pour ça (soirée spagueti pour Fondation X par exemple), que de payer le gros prix pour obtenir des places réservés à une table, avec des gens qui n’ont peut-être absolument aucun intérêt pour nous.
Si par contre on fait du B2b, ça peut être utile d’être inscrit à la chambre de commerce par exemple ou des endroits où se réunissent notre clientèle cible.
Je ne suis pas d’accord avec cette affirmation. Tous les gens qui vont là bouffe, s’habille, dépenses 40 000$ par année comme tout le monde, voyage, ont un ordinateur, etc.
Beaucoup de gens ne comprennent pas pourquoi et comment faire du réseautage (faudrait bien que je fasse un Ebook là desus )
On ne conclus jamais de vente lors d’une soirée réseautage. Le but de se présenter là, c’est juste de se montrer la face. Et il est normal (et très efficace) de parler de n’importe quoi d’autres que notre business : on apprend à connaître les gens.
Olivier a écrit un chapitre dans un de ses Ebook (je sais plus lequel, désolé) qui explique que plus une personne s’investi (temps, argent, effort, etc) dans quelque chose, plus elle “aimera” cette chose, et moins elle sera susceptible de l’abandonner. C’est un principe marketing très fort quand vient le moment de fidéliser une clientèle.
Les enfants quand ils sont petits, on les envoit dans un groupe de leur âge, et se font ami avec le premier qu’il croise avant même de lui demander son nom. Nous les adultes, ça fonctionne pas comme ça. Pour faire confiance à quelqu’un, il faut le voir à plusieurs reprises (en terme marketing, on dit 7 fois), s’assurer que ça “clique” au niveau personnalité, s’assurer qu’on partage des valeurs similaires… et éventuellement commencer à tisser une relation, qui fait en sorte que quand on rencontre la personne de nouveau, on trouve un certain plaisir à aller saluer l’humain qui est devant nous.
Un jour, comme tout le monde, on aura besoin de faire confiance à quelqu’un… un agent de voyage, un réparateur d’ordinateur, un coiffeur, etc. Si on regarde dans le bottin, ils sont 45 dans ma ville. Mais instinctivement, je vais me rappeler d’abord de celui que j’ai croisé au dernier souper spaguetti, le gars sympatique qui m’a raconté son voyage au Tibet, et c’est lui que finalement je vais appeler, car j’ai déjà un début de relation de confiance avec lui, ce que je n’ai pas avec tous les autres.
Bien je t’ai pas rencontré dans un souper spaghetti mais je pourrais bien discuté voyage avec toi un bon bout lol
Merci pour les commentaires. Je prends ça en notes.