#59 – L’achat et la vente de données, comment ça marche et pourquoi le faire?!

Dans cet épisode de Scotch & Domination Mondiale, je reçois Gabriel McMahon et Mathieu Le Reste de l’entreprise Propulso Geo!

Dans ce podcast, on parle d’un sujet tabou: l’achat et la vente de donnée!

Pourquoi est-ce que quelqu’un voudrait faire ça? À quoi ça sert? Comment ça marche et est-ce si intrusif que ça?

J’ai énormément appris lors de cette conversation et j’espère honnêtement que vous allez prendre la peine de l’écouter jusqu’au bout!

Si vous désirez vous protéger et cacher vos données, je vous recommande fortement d’utiliser un service de VPN comme ExpressVPN.

Vous pouvez également utiliser Duck Duck Go comme navigateur de recherche et navigateur sur mobile.

Cloudflare offre également un service de VPN gratuit pour vos appareils mobiles: 1.1.1.1.

Après votre écoute, si vous désirez obtenir les services de Propulso Geo, gâtez-vous en allant sur leur site web: geo.propulso.io!

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Salut, mon nom est Christian. J’aimerais en savoir plus sur le « big reset ». Avec l’experience que j’ai a observer Davos, ca vaut la peine d’en savoir plus.
Merci d’avoir brievement adresser ce sujet. J’ai hate d’en entendre plus a ce sujet.

Par ici!

https://torontosun.com/opinion/columnists/goldstein-un-climate-report-reveals-goals-of-trudeaus-great-reset

Je vais sans doute en parler un jour! Il faudrait que je fasse plus de recherche, je ne suis pas certains de bien comprendre tout le concept.

En tout cas, il y a clairement quelque chose de louche :stuck_out_tongue:

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Salut Olivier,

Merci énormément pour l’info. Ton podcast d’aujourd’hui avec les gars de Propulseo était fou!

Merci énormément pour la richesse de ton contenu, je suis fier de faire partie de ta communauté

Bon weekend

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Salut Olivier !

Cette entrevue est vraiment super intéressante et fascinante ! J’ai appris non seulement beaucoup mais en plus, j’ai été assez surprise disons, de voir que ça va franchement au-delà de ce que je figurais.

Pis en plus, il y a même la partie des « vertes et des pas mûres » dont on n’a pas eu les détails. Alors, j’ose presque pas imaginer jusqu’où ça peut aller…

Marthine

Le Great Reset est relié à un concept économique qu’on appelle « la 4e révolution industrielle ».

Il faut comprendre que chaque innovation technologique d’importance change radicalement comment une société fonctionne.

La première révolution industrielle est la découverte, début 1800, de l’exploitation de l’énergie du charbon, avec l’émergence des machines à vapeurs, qui a permis a création des premières usines, ce qui a révolutionné drastiquement la façon de consommer. Beaucoup de gens ont désormais accès à des produits standardisés. En contrepartie, les artisans sont incapables de compétition les usines, et leur déclin s’amorce.

La 2e révolution industrielle s’articule autour de l’exploitation du pétrole et des voitures. Le transport est facilité, et l’énergie coûte presque rien. Le capitalisme s’installe notamment grâce au travail à la chaîne développé par Henri Ford qui baisse radicalement le coût des biens de consommation. S’installe alors un modèle économique basé sur la concurrence. Le plus fort et le plus gros gagne, les autres font faillites.

La 3e révolution industrielle commence avec l’ère d’internet. L’ère des communications révolutionne complètement toutes les sociétés du monde. Plus rien ne sera jamais comme avant. S’installe également par la même occasion, grâce en particulier aux transactions électroniques, l’instauration des grands monopoles. Quelques entreprises ont pris le contrôle commercial des grands marchés industriels reliés à l’internet, et elles semblent impossible à déloger.

La 4e révolution industrielle est ce qu’on appelle actuellement « l’internet des objets », ou IoT en anglais (Internet of things). Grâce notamment à la 5G, tout, absolument tout, sera connecté à Internet.

Or ce qui se passe, c’est que l’expérience des 3 dernières révolutions industrielles nous fait comprendre une chose : les premiers à mettre les pieds dans une révolution, à mettre à jour leur pratique commerciales, à savoir anticiper ce qui s’en vient, notamment en acceptant d’abandonner rapidement les vieilles pratiques bientôt désuètes, sont généralement ceux qui arrivent à prendre le contrôle du marché. Tous les autres vont perdre.

Le marché capitaliste a donc depuis plusieurs années déjà dépensé énormément d’énergie pour anticiper cette nouvelle société qui s’en vient… mais surtout d’en prendre le contrôle! On peut comprendre l’intérêt : Il y a des trillions de dollars dans la mire!

C’est ainsi notamment qu’est né le Forum Économique Mondial, fondé par le milliardaire Klauss Schwab. Dans la section Our Partners de leur site Web, on trouve évidemment toutes les plus grandes entreprises du monde, Amazon, Microsoft, et plusieurs centaines d’autres. Je ne surprendrai personne si j’affirme que tous les gens présent dans cette liste sont là pour protéger LEURS intérêts commerciaux… ce qui veut dire prendre le contrôle de toutes les sphères de marché disponible… ce qui signifie éliminer tous les autres « concurrents ».

Mais cette stratégie se heurte aujourd’hui à trois problèmes qui limitent l’expansion des ces entreprises qui rêvent de mondialisme et de monopoles toujours plus grand :

    • Les gouvernements, avec leurs lois
    • Les populations, qui réclament toujours ses droits
    • La faillite du système bancaire mondial

Pour ce qui est des gouvernements, la solution est de les inclure dans le processus, en promettant de nombreux avantages… à savoir particulièrement une collaboration politique. On l’a vu récemment avec le pouvoir que Facebook et Twitter se sont autorisé de censurer les comptes d’un président en fonction, à savoir Trump. La question n’est pas de savoir si on est d’accord avec Trump ou non, la question est de savoir si une entreprise privée peut décider d’empêcher un parti politique d’exprimer ses idées au détriment d’un autre. Dans tous les cas, on a compris que ces entreprises ont un pouvoir d’action qui dépasse aujourd’hui celle du gouvernement américain. Dans un 2e temps, on observe que ces entreprises donnent leur soutien politique à ceux qui adhèrent à leur plan sociaux. On a tous eu l’occasion d’observer l’épinglette à 17 couleurs que porte le Dr Arruda,… mais également François Legault, Emmanuel Macron, Bill Gates, Tedros Adhanom Ghebreyesus (directeur de l’OMS), et tant d’autres personnagess publics. Il s’agit d’un effort concerté mondial sous l’égide de l’ONU de 17 objectifs sociaux qui, sur l’échelle politique penche radicalement à gauche, et accorde des pouvoirs extraordinaires aux gouvernements… ces mêmes gouvernements qu’on aura contribué à élire, notamment par les moyens déjà soulignés.

Et la population dans tout ça? Va-t-elle accepté cet IoT? Ce contrôle économique « libre » gérer exclusivement par des entreprises mondiales surpuissantes? La solution c’est de l’inclure dans le projet. La personne devra être elle-même un objet connecté à l’intérieur du grand réseau IoT. On parle alors de « transhumanismes », c’est-à-dire que la technologie ne sera pas seulement au service de l’humain, elle fera parti de lui-même. La technologie doit devenir une extension des capacités humaines.

Mais avant reste à résoudre un dernier problème : le système capitaliste mondial actuel a été développé grâce à la dette et aux prêts faciles des banques. Tout faire à l’aide de prêt est devenu tellement une insignifiance dans la culture populaire, qu’il existe aujourd’hui plus de dette qu’il n’y a d’argent pour les payer. Tout est endettés, les gouvernements, les municipalités, les entreprises et les individus.

Or le système capitaliste suppose par définition une croissance continue. Or pour croître continuellement, il faut encore plus de dette. Ce cercle vicieux infernal est aujourd’hui rendu complètement à bout, et menace de s’écrouler à tout moment. De toute façon, une croissance continue et soutenue par tout le monde est mathématiquement impossible. Un jour, ce système doit s’arrêter.

Mais imaginons alors les dégats! Crise économique mondiale, faillite en série, banque en déroute, gouvernement hors de contrôle, monnaie qui perds sa valeurs, la bourse qui s’effondre. On retourne en 1929, et même pire!!

S’il y a une chose que les multinationales ont apprises, c’est de ne pas recommencer deux fois la même erreur, et d’apprendre de ses expériences.

Si donc on comprend que cet effondrement du capitaliste est inévitable, si on veut à la fois garder le contrôle politique de la situation… et surtout le contrôle des marchés monopolistiques, il faut anticiper cette crise, et provoquer un effondrement sous contrôle.

C’est exactement là qu’apparaît le Great Reset, ou « grande réinitialisation ». Il ne s’agit pas d’une théorie du complot, ou une théorie d’extrême droite soulevé par les partisans de Trump. Non il s’agit simplement du titre d’un livre publié en juillet 2020 par Klaus Swchab, fondateur et directeur du Forum Économique Mondial.

Dans ce livre, M. Swchab propose une solution économique, qui vise à la fois à résoudre tous les problèmes susmentionnés.

Dans un premier temps, il faut accepter la fin du système capitaliste tel qu’on le connaît déjà, et entamer une ère de « décroissance » économique. Mais il ne faut pas oublier que M. Schwab est là pour protéger les intérêts de ses partenaires économiques. Cette décroissance ne doit pas se faire au détriment de la croissance économique des oligopoles, mais en retirant les parts de marchés des autres commerces non partenaires (sous entendre, les commerces locaux, incluant restaurants, boutiques, etc).

Dans un 2e temps, il faut entrer à 2 pieds dans l’ère de la 4e révolution industrielle, ou IoT (internet of things), en faisant en sorte que les individus doivent faire parti des objects connectés pour que la chaîne de communication soit complète.

Dans un 3e temps, il faut faire vite… très très vite !! Sinon il y a un risque de manquer le bateau. Et c’est alors que M. Schwab énonce dans son livre ces propos extrêmement controversés à l’effet qu’il faut profiter de « l’opportunité extraordinaire » qui apparaît dans le cadre de la COVID-19 pour faire basculer les sociétés de façon « contrôlée » dans cette 4e ère industrielle.

Je ne débattrai pas ici de la pertinence de certaines mesures sanitaires prisent par les gouvernements dans le cadre de la COVID19, mais il s’avère que certaines mesures apparaissent comme étant considérablement plus efficaces pour faire avancer l’agenda de M. Schwab que pour stopper un virus.

Une chose est certaine : plus rien ne sera comme avant. L’histoire du futur racontera que dans l’histoire du monde, il y a eu un avant Covid19, et un après Covid19. Un nombre considérable de mesures comme les limitations de déplacements d’un territoire à l’autre, des couvres-feux, du travail et de l’étude à distance, sont là pour rester très très longtemps… longtemps après la fin de la pandémie!

À quoi pourrait donc ressembler le monde du futur de ce IoT? C’est à fois épeurant d’un point de vue social et politique, avec son côté très orwélien, mais c’est aussi en même temps extraordinairement fascinant du point de vue technologique.

Pensons à ceci : tout ce qui est connecté, ou « numérisé », peut être « programmé ». Tout ce qui peut être programmé peut être automatisé. Tout ce qui peut être automatisé le sera dans un monde 4.0 .

Depuis 2015, plusieurs gouvernements dans le monde, en particulier les USA, la France, l’Allemagne et la Chine, travaille sur des codes de standardisation de types ISO pour uniformiser la façon d’automatisé tous ces processus.

Imaginons, par exemple le scénario suivant :

  • Les banques centrales abandonnent l’argent actuel (qui est en faillite de toute façon), et développe une nouvelle monnaie numérique, basé sur la blockchain. Par conséquent, toutes les transactions sont publiques, incorruptibles et intégrables facilement dans des processus automatisés.

  • Chaque être humain reçoit un tatouage numérique, avec un code d’identification unique international. Chaque transaction monétaire mondiale dans la blockchain est obligatoirement reliée à l’identification numérique d’un individu ou d’une entreprise. Tout le dossier de cet individu numérisé est également inscrit sur la blockchain : son dossier de crédit, son dossier criminel, ses compétences scolaires… et bien sur, son salaire annuel… et pourquoi pas son dossier médical! À cela pourrait pourrait se rajouter (je spécule hein!) un « crédit social », comme en Chine, où une valeur est attribué selon le comportement social de l’individu.

  • L’individu numérisé possède une maison. Cette maison est également numérisée, avec un numéros de série international, enregistré sur la blockchain. Toutes les caractéristiques de la maison, son adresse, sa valeur marchande, ses caractéristiques particulières (revêtement en brique, situé en zone inondable 25 ans, le chauffe-eau expire dans 3 ans, etc), sont mises à jour une fois par année par des spécialistes autorisés, et inscrit dans la blockchain.

Ceci tout mis en place, imaginons la situation suivante : M. X veut vendre sa maison à M. Y. Combien de temps faudra-t-il pour faire la transaction?

Aujourd’hui, une telle transaction requiert plusieurs spécialistes (agent d’immeuble, notaire, agent immobilière, agent d’assurances) et prend beaucoup de temps (de plusieurs jours à plusieurs mois). Chaque spécialiste doit monter des dossiers, consulter des registres (registre foncier, dossier de crédit, dossier criminel), et s’assurer que tout est conforme.

Mais avec ce système où tout est numérisé de A à Z, le temps de transaction sera instantané ! En effet, en un seul clic de souris, les algorythmes qui ont déjà toutes ces informations vont seulement vérifier que tout est conforme selon les dossiers présents.

Ainsi, la banque prendra une décision automatiquement si elle accorde un prêt hypothécaire à M. Y, car elle a accès instantanément à son bureau de crédit, à son salaire, et à sa « cote sociale ». Les assurances ont déjà toutes les informations sur la maison, et peuvent donc prendre une décision sur le champ. Quand à la municipalité, elle ne fera que mettre à jour les registres fonciers, également public, et ce de façon toujours 100% automatisé.

Vous aurez compris que les rapports d’impôt vont disparaître, car la comptabilité sera entièrement automatisée!

Cette automatisation sera également poussé à fond dans les entreprises. En 2015, la multinationale GE (General Electric) a investi 1 milliards de dollars pour créer un logiciel, appelé Predix, qui sert à ramasser et analyser des données de capteurs qui ont été mis partout dans tous les objets qu’ils fabriquent, notamment les moteurs d’avions. Grâce à ces capteurs et aux algorythmes de Predix, il est possible de savoir avec précision le niveau d’usure de chaque moteur, et les maintenances nécessaires, et ce individuellement pour chaque moteur dépendant dans quelle zone géographique l’avion circule, car les climats sont différents. Bien sur, on sait également en temps réels si ces moteurs tournent, et où ils se trouvent dans le monde. Ainsi, un actionnaire d’une compagnie d’aviation pourra facilement développer un algorythme de prise de décision de vente ou d’achat d’actions selon l’activité de l’entreprise, qui ne peut absolument plus rien caché.

Mais tout ce système a une immense faille !! Pour qu’il soit rendu possible, la population devra accepter d’une part que l’argent cash disparaisse, et d’autres parts qu’elle soit parti prenante de ces technologies en acceptant l’identification numérique. Aura-t-elle trop peur de Big Brother?

Pour répondre à cette question, je termine cet interminable commentaire avec cette piste de réflexion.

Actuellement, le monde entier vit dans la peur de mourir. Il n’existe aucune peur plus grand que celle de mourir. Par conséquent, les populations ont acceptés un confinement extrêmement strict, avec une suppression sans précédents de nos droits et libertés qu’on promet de lever éventuellement lorsqu’un vaccin sera disponible.

Déjà, plusieurs compagnies d’aviations, des entreprises de spectacles (théâtre, cinéma), des hôpitaux et des grandes entreprises ont annoncés que lorsque le vaccin sera disponible, une preuve sera obligatoire pour obtenir ces services (et même pour y travailler).

Mais un problème de taille surgit à l’horizon. Les compagnies pharmaceutiques annoncent qu’il faudra 2 doses pour que le vaccin soit efficace. Et ces vaccins rentrent au compte goutte…

Donc là on va se retrouvé avec des gens vaccinés une fois… des gens vaccinés 2 fois, des gens pas vaccinés… et des gens avec des faux certificats de vaccinations. Comment contrôler toutes ces disparités à l’entrée d’un théâtre?

La solution est déjà prête : un certificat de vaccination… numérique !!!

Rendu là, le reste n’est que formalité.

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Salut David!

J’attendais d’avoir un peu de temps pour prendre le temps de bien te lire et répondre.

Trump était tellement la figure parfaite pour donner le feu vert à la censure. Il a tellement été une figure controversé que la gauche le comparait de façon complètement nonchalante à Hitler.

On devrait avoir le droit de censurer Hitler right?

Bref, tu ne peux pas jaser de tout ce qui se passe avec tes amis sans te retrouver, deux bière plus loin, 10 pieds enfoncés dans des théories de conspirations.

Qui est-ce qu’on peut blâmer quand Times publie ce genre de choses:

Quand les « conspirateurs » se vantent publiquement d’avoir « gagné », ça pousse à se poser plus de questions… Quelles autres conspirations sont vraies?

Ce qui me mène à aborder 2 points sur ton commentaire:

  1. La réponse économique
  2. La cryptomonnaie

Pour moi, c’est assez clair que pour le WEF, l’enjeu #1 est le réchauffement climatique et que la COVID n’est qu’un excuse pour y arriver.

C’est clair qu’ils veulent utiliser la pandémie pour réduire au minimum les activités économiques non essentielles de façon permanente.

Pour y arriver, la plupart des banques centrales songent passer par le MMT (Modern Monetary Theory).

En gros, lorsqu’on pense en terme de MMT, la dette n’est pas un problème puisque les dépenses gouvernementales agissent comme une faucet économique et les taxes comme un sink.

Bref, je crois que pour réduire les émissions et rendre l’accès aux activités non essentielles difficile, je crois qu’on se dirige vers un universal basic income qui passe par un dollar canadien digital.

Ce dollar ne pourra qu’être dépensé sur des biens essentiels dans un rayon de X km autour de chez toi et tu ne pourras pas les accumuler puisqu’ils pourront y imposer un taux d’intérêt négatif.

C’est ma théorie de Tin Foil Hat, mais je crois que c’est elle qui fait le plus de sens.

Surtout lorsqu’on voit à quel point il y a une résistance face à l’ivermectin comme traitement au COVID.

https://twitter.com/PierreKory

Il ne suffit que d’écouter ce débat pour réaliser que ceux qui opposent Ivermectin sont malhonnêtes:

Anyways, je dérive du sujet!

Perso, je crois que la décentralisation via le blockchain est la seule issue possible à la folie du MMT et j’espère vraiment avoir tort et que la COVID n’est pas utilisé pour pousser le UBI et restreindre la consommation des gens.

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