L'importance de la santé

J’aimerais avoir votre avis sur:

À quelle âge commençons nous à nous soucier de notre santé?

Les temps ont changé, dans la génération BB Boomer on commençait à s’en inquiéter vers 50 ans quand les maladies commençaient à faire leur apparition.

Puis l’information a commencé à circuler plus avec l’accès à internet et il est démontré que beaucoup de gens font des recherche sur des sujet médicaux.

Merci d’avance

La réponse la plus fiable ne se trouvera pas (sûrement pas) sur internet.

Le mieux ça reste de s’informer auprès des professionnels de la santé !

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Bien candidement, je te dirais que, la nature humaine étant ce qu’elle est :face_with_raised_eyebrow:, de façon générale, on commence à se soucier de sa santé quand on commence à avoir des problèmes (comme tu l’as noté en rapport avec les boomers), ou qu’un être cher a de sérieux problèmes de santé, peu importe notre âge (à partir de quel âge, je ne sais pas - ado? adulte?). Bref, on a tendance à prendre notre santé pour acquis jusqu’à ce que quelque chose dérape ou nous inquiète.

Mais oui, de plus en plus de gens font des recherches sur la santé (et ça modifie mon travail de traductrice médicale), sont mieux informés et arrivent chez le médecin avec déjà des renseignements en tête et des questions plus pointues. (Certains médecins aiment, d’autres non.)

Mais en même temps, avec toute la désinformation qui circule aussi…

C’est mon humble avis :slight_smile:

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Je trouve que notre génération (la mienne dumoins) se soucie de plus en plus de sa santé dès le plus jeune âge.
Perso je commencais déjà à m’en soucier à l’âge de 8 ans.
Mais je vois d’autres s’en soucier vers la vingtaine.

En même temps, on vit dans un monde dans lequel le danger est sournois (alimentation blindée de pesticides, rapports scientifiques prouvant la toxicité de certains aliments ou habitudes de vie, etc…).

Si on poursuit le partage d’information sur le bien-être et la santé, on continuera à conscientiser des personnes de plus en plus jeunes à se soucier de sa santé dès son plus jeune age.

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Merci de ta réponse c’est bien apprécié.

Tu as raison beaucoup d’information sont plus ou moins fiable, car leur but est de te vendre un produits, mais Il existe malgré tout de bonnes information parmi des tonnes d’autres qui le sont moins. Il faut vraiment faire le tri et confirmé que les recherches sont sérieuses j’en convient que cela n’est pas facile à décortiqué.

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À l’aire des vegan/paleo/keto/hypotoxique, je dirais qu’un bon segment de la population est maintenant hyper-conscientisé alors qu’il existe encore du monde qui mange de la poutine à tous les jours avec un gros pepsi.

Perso, je pense que la santé est un pré-requis à la productivité alors j’essaie de faire attention pour bien manger et aller au gym.

En même temps, tellement d’information qui va dans tous les sens…

Début 2000, les gras saturés étaient mauvais pour la santé. Vers 2008 c’est rendu le contraire.

Le lait était bon pour les os, mais maintenant apparemment que ce ne serais plus le cas.

Avant on pensait que c’était le bacon qui rend gros, maintenant certains disent que c’est le pain.

On a de la misère à s’entendre sur les aliments de base, alors lorsque vient le temps de parler des OGM et du reste on vient de perdre pas mal tout le monde :stuck_out_tongue:

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Très bon sujet de discussion … pour ma part la santé c’est quand tu fonctionne bien à tous les niveau ( émotionnelle, physique, monétaire, morale, spirituelle , ) quand on est assez balancé dans tout ca… ca devient plus facile de réaliser son potentiel . Donc comme j’ai des reves assez grands depuis très jeunes et que je veux les accomplir … je m’arrange que tout soit assez balancer . Par période c’ est évident que on controle pas tout … mais le mieux est de se tenir informer ( hélas y a aussi de la désinformation ) et surtout j’ai appris et j’apprends à mes enfants de se CONNAITRE , comme ca on se rend compte quand sa va pas !!!

A votre santé

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Bon point d’amener les différents types de santé! Je pensais uniquement à la santé physique, mais c’est vrai qu’il y a notre tête à prendre en compte!

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En même temps, tellement d’information qui va dans tous les sens…

Début 2000, les gras saturés étaient mauvais pour la santé. Vers 2008 c’est rendu le contraire.

Le lait était bon pour les os, mais maintenant apparemment que ce ne serais plus le cas.
Avant on pensait que c’était le bacon qui rend gros, maintenant certains disent que c’est le pain.

C’est là le problème, il faut être vraiment bien informé pour suivre
Qui prouve quoi? Dans nos sociétés quand un nouveau médicament, un nouvel aliment, un nouveau produit de beauté viens faire sa place, ils doivent en prouver l’innocuité à Santé Canada, EFSA en Europe ou la FDA aux États-Unis. C’est là que le problème se crée, puisqu’il est tout à fait facile de prouver tel effet tout en dirigeant les recherches dans le sens de l’approbation. Ne dit-on pas que chaque parent trouve que son enfant est le plus beau, il lui trouvera toutes les qualités et même si il est conscient de ses défauts il ne les étalera au grand jour ou les minimisera.

( émotionnelle, physique, monétaire, morale, spirituelle , )

Bon point d’amener les différents types de santé! Je pensais uniquement à la santé physique, mais c’est vrai qu’il y a notre tête à prendre en compte!

Exactement, je crois que la santé ce n’est pas simplement l’alimentation, il faut bouger pour activer notre corps et le garder sain, mais il y a aussi le côté émotionnelle, le stress joue énormément sur notre santé en général, si l’on manque d’argent, si l’on ne prend pas de temps pour se recentrer, spirituellement, il est difficile de relaxer aujourd’hui.

Je suis un professionnel de la santé. Pour avoir essayé de réaliser des projets sans être à mon plein potentiel d’énergie, je peux témoigner que c’est un préalable !
Je m’y suis intéressé vers 19 ans car j’avais des déséquilibre.

Aujourd’hui j’ai créé une formation pour recharger son énergie durablement, et un webinaire-teaser gratuit est dispo ici : https://recharge-inc.com

Pour te répondre plus spécifiquement, je dirais que l’on s’y intéresse de plus en plus jeune car les problèmes apparaissent de plus en plus tôt, mais que s’il ny a pas de problème apparent les gens ne s’y intéressent pas.

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Et pour avoir travaillé toute ma vie dans l’industrie pharmaceutique ou proche de cette industrie comme traductrice pigiste, je te dirais que c’est encore plus «laid» qu’on pense :anguished: La mise au point des médicaments coûtent très cher - on parle de centaines de millions pour mettre au point une molécule qui parfois, n’aboutit même pas sur le marché. Alors naturellement, les compagnies cherchent à couper dans les dépenses. Et depuis un certain nombre d’années, on assiste à un raccourcissement de la période de mise au point… Santé Canada fait de son mieux pour l’évaluation avec les données qu’elle a. Mais les scandales qu’on voit avec les médicaments qui doivent tout à coup être retirés du marché parce qu’on découvre au prix de vies humaines perdues ou « gâchées » que le produit n’aurait pas dû être approuvé… il y en a eu, et il y en aura d’autres. :nauseated_face:

Et juste de penser à ça, ça donne encore plus de raisons de prendre soin de soi AVANT que la maladie ne se pointe - prendre soin de soi à tous les niveaux. Et je pense qu’on est de plus en plus dans ce genre de mindset. Exercice, alimentation équilibrée, réduction du stress, méditation, pleine conscience, etc. Toutes des choses qui vont faire de plus en plus partie de notre vie, et c’est tant mieux.

Mais naturellement, comme tu le soulignes, il y a beaucoup de désinformations, et il y a des modes (surtout en ce qui concerne l’alimentation). Alors où trouver ce qui est fiable? :thinking:

L’une des choses qu’on doit vraiment développer de nos jours, c’est la pensée critique, le discernement, la capacité d’évaluer l’information qui nous tombe sous la main. :slight_smile:

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Et quand on combine ça au fait que le niveau de littératie ne vole pas haut…

Bref… voilà. :no_mouth:

Bon. J’enlève mon chapeau d’alarmiste. :scream: :nerd_face: :upside_down_face:

J’ai remarqué dans mon travail que plusieurs gens ne savent pas lire, pas nécessairement parce qu’il ne l’on pas appris quand ils étaient jeune, mais bien parce qu’il ont immigré et ont du apprendre une nouvelle langue, le parler, ils y arrivent, ils s’adapte, mais beaucoup n’arrive pas à lire.
Ces gens sont fragilisé, car évidemment ça leur bloque les portes de beaucoup de chose au niveau du travail et de l’apprentissage par nos médisa électronique.

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Merci de l’information je vais aller voir ta formation.

la population est tellement hétérogène que ta question est difficile. Je pense que chez les jeunes il y a un phénomène de mode instagram qui se crée autour du mode healthy!
Concernant en France la population de la 50 aines et après on est plus sur un mode où “il faut bosser on verra plus tard”.
Entre les 2 on aura certainement une population éduqué avec un bon niveau d’étude a déjà des connaissances sur la santé mais qui n’a pas trop le temps (beaucoup d’heure de travail plus vie de famille).
Et une population moins éduquée qui s’en fiche un peu plutôt sédentaire.
voilà mais tu peux encore coupler d’autres résultats avec religion, sexe, catégorie socio pro, niveau d’étude, combien d’enfant etc!

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Oui c’est un bon point il y a aussi le facteur environnemental et sociologique qui compte, une famille de 4 n’aura pas les même moyens financier qu’un couple seul pour l’achat de la nourriture et les activités physique. La religion aussi car dans certain cas, on doit manger de tel ou tel façon.
Merci de ta précision

Personnellement, j’ai toujours prôné l’équilibre en ce qui concerne toutes les sphères de ma vie, y compris la santé. J’étais dans les gros plans alimentaires et les plans d’entraînements, pour finalement me rendre compte que tout cela gravite autour d’un même et répétitif principe.

Il est vrai que c’est facile de sortir les grosses factures pour l’alimentation! Moi je parcours les rabais des différents supermarchés, que l’on peut retrouvé tous répertoriés (sauf Costco?) ici : http://www.supermarches.ca/! Ça fait une grosse différence sur le budget :smiley:.

Sinon, pas besoin de dépenser des tonnes pour faire de l’activité physique aussi! Je m’entraîne, avec des amis nous louons une surface de gymnase pendant une moitié d’année scolaire pour un prix avoisinant les 60-70$ par personne, et on joue 2h par semaine au hockey cosom (ligue improvisée). Il y a les abonnements aux municipalités qui offrent la possibilité de faire de l’activité pour peu cher!

En résumé, oui la santé, c’est pas donné, mais comme le dit si bien Olivier Lambert dans son livre Double ta valeur, on a 2 choix : Couper dans le gras (on cherche à réduire les dépenses), ou accroître les revenus :wink:

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Merci Steve,

Moi aussi je regarde les spéciaux et quand je voit qu’il y a des trucs que je consomme en spécial j’en fais une petite réserve. Mais je ne consomme pas beaucoup de produits transformé, j’essaie de cuisiner moi-même le plus possible. Puis en ce moment tous les marchés public sont ouvert et regorge de fruits et légumes vraiment délicieux et à prix très abordable. C’est le temps de faire une cure de jus de légumes ou de smoothies vert :slight_smile:

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En tant que thérapeute manuel depuis 7 ans, je constate que les gens commencent à réfléchir sérieusement sur leur santé lorsqu’il ont un déclencheur très fort de le faire. Voici à mon avis les trois principaux :
1- Quelqu’un de leur entourage tombe malade
2- Ils tombent eux-même malades
3- Ils ont un incitatif financier à le faire

Et oui, comme le dit Olivier, on retrouve de tout et son contraire sur ce qui est supposé bon et ou pas bon pour la santé. Mais beaucoup de gens ont de mauvaises habitudes, et en général ils le savent plutôt bien. Ce n’est donc pas ce qu’on doit consommer qui est prioritaire, mais plutôt ce qu’on doit arrêter qu’on sait être mauvais pour nous, que ce soit des fringales de fin de soirée, des excès d’alcool, etc.

Or, en psychologie humaine, il n’y rien de plus difficile que de changer une habitude. Pour y arriver, il faut un incitatif extraordinairement puissant. La peur de la souffrance ou la mort est généralement le plus efficace, mais pour plusieurs, ce n’est même pas encore assez.

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