Quand je ne savais pas qu’on pouvait gagner sa vie depuis un ordinateur...
Je commence l’écriture de ce journal de progrès depuis une petite île française près de l’Afrique du Sud : La Réunion. Ici, on est en hiver. Mais le ciel est bleu et il fait 28°C : ça a ses avantages de vivre au soleil.
Alors non, je ne suis pas sur la plage, mon ordi en face de moi et mon cocktail de fruits dans la main. Non non, ici aussi on est confiné. Et puis, ce cliché du mec au bord de l’eau avec son ordinateur, c’est pas vraiment mon genre…
Commençons par ce que je fais une graaaaande partie de mon temps : je suis enseignant. C’est-à-dire que j’essaie d’apprendre des choses à des enfants de 10 ans. Je fais ça depuis 7 longues années. Il y a des jours sympas et des jours beaucoup moins rigolos. Mais bon, je pense que vous imaginez bien ce que ça peut donner 30 enfants au même endroit pendant 6h chaque jour. Des fois, ça fait des étincelles 
Mes petits pas dans le web...
Tout commence en 2016 (oula ça fait déjà 4 ans…), je me lance alors dans l’aventure du Web. Je commence un blog sur le minimalisme. J’écris des articles, beaucoup d’articles. J’aime ça même si cela me demande beaucoup de temps. Finalement, je m’arrête après un an d’écriture et de partage. Cette expérience a été fun, m’a permis d’être plus minimaliste (se concentrer sur l’essentiel) et m’a mis les deux pieds dans cet univers fabuleux des business en ligne.
Entre 2017 et 2019, je continue à écrire, à faire des vidéos et même quelques podcasts mais rien de bien sérieux, par manque de temps…
Le grand amour ?
Mais en 2019 commence alors la vraie histoire. Je décide de me former au copywriting : j’apprends que c’est l’art de convaincre avec des mots. Wouah! Présenté comme ça, ça donne clairement envie. Alors bien sûr, j’avais déjà entendu parler de copywriting avant de me former, mais jamais comme ça. C’est Stan Leloup qui m’a réellement donner envie de me plonger dans cet univers (merci Stan). Je me forme donc avec lui quelques mois (via une de ses formations).
Tout content de ce que je viens d’apprendre. Je propose mes services gratuitement dans un premier temps : je veux pouvoir me faire la main sur des projets qui me plaisent. Et je veux savoir si ce que j’ai appris sert vraiment à quelque chose.
J’arrive assez rapidement à trouver des personnes intéressés pour me faire confiance sur un projet (mon pouvoir de persuasion ou le pouvoir du gratuit ?? 
).
2 projets, juste 2 projets. Mais ces 2 projets vont me prendre quasiment tout mon temps libre de février à avril de cette année (j’ai quand même toujours mon boulot d’enseignant à côté). Au final, cela se passe très bien, les personnes pour qui j’ai travaillé sont très contentes du boulot réalisé. Moi, je suis fier d’avoir pu écrire pour mettre en valeur des produits auxquels je crois.
Maintenant, le vrai travail commence.
2020 : l’année du copywriting ? (j’ai déjà oublié le corona...)
Mon objectif : trouver mon 1er vrai contrat en copywriting.
Et là on ne plaisante plus, il faut y aller à fond (confinement oblige, j’ai du temps, ouf). Mes journées sont rythmés : prospection, prospection, prospection.
Mais ce n’est pas simple : je n’ai pas vraiment de réseau (la moitié de mes amis Facebook sont des enseignants…) et là où j’habite, il n’y a pas réellement d’évènements qui me permettraient de networker dans le domaine du business en ligne. Ma seule solution : démarcher directement via Internet. Autant dire que j’ai un peu l’impression d’être dans une grande salle remplie d’entrepreneurs où tout le monde se connaît et moi je suis seul, mon verre de jus à la main. Mais peu importe, je relève le défi : j’irai montrer à tous ces entrepreneurs la force du copywriting et la valeur que je peux leur apporter.
Bien sûr, à terme, l’objectif serait de pouvoir devenir un super copywriter freelance. De pouvoir avoir des projets à n’en plus finir. De n’avoir que des clients avec des étoiles dans les yeux après avoir vu ce qu’un bon copywriting peu réalisé.
Le chemin promet de ne pas être simple mais l’aventure sera excitante.
Je partagerai ça ici avec vous la Tranchée.
PS : J’ai fait 1 an d’étude à Montréal. C’était une année géniale mais j’étais clairement pas préparé au froid 
