Allez je m’élance, puis me lance, convaincu par Marie la grande prêtresse du Progrès. Il est temps de donner un coup de pied dans la fourmilière! Il est temps de prendre mon envol mon p’tit! Il est temps, il est plus que jamais temps.
Mon objectif c’est de me construire un site référence dans le copywriting où je vends d’abord des formations puis des prestations.
Bon pour que tu me situes, je suis rédacteur à plein temps pour un site culturel basé en Suisse, et ma plume se pose quelques fois sur du vrai papier aussi pour différents magazines dans les loisirs. A côté, je prends quelques missions en freelance. Mais Moïse est passé par là et a divisé les eaux du freelance en deux: d’un côté les superstars et de l’autre les mendiants des mots. Quand t’es pas trop connu, t’es plutôt du côté de la mendicité.
Je tâte le ecommerce depuis que j’ai 20 ans (j’en ai 28 présentement). Et ce qui motive mes phalanges créatives c’est la stratégie de comm’, le copywriting et le storytelling. Les mots qui capturent les coeurs.
J’ai un background académique avec un Master en anthropologie culturelle et sociale qui, de manière agréablement surprenante, me sert à comprendre les organisations de groupe. Comment un membre d’un groupe social devient le leader, comment se crée le lien social et comment les gens organisent leur représentation du monde à travers la raison et les émotions.
Mon site c’est www.copywriting-francais.com.
J’aime bien écrire mais j’ai une admiration infinie pour les gens qui décident de lancer leur activité, parce que c’est ce que j’ai toujours fait en parallèle de mes études et de mes différents emplois.
Sauf que je remarque SYSTEMATIQUEMENT que leurs pages ne donnent pas envie d’acheter, pas envie de rester, pas envie d’en savoir plus.
Des fois parce qu’elles comportent trop de fautes d’orthographes et de syntaxes, d’autres, plus souvent, parce qu’elles n’engagent simplement pas le lecteur.
L’entrepreneur se focalise trop sur son produit et c’est normal il y a passé des semaines et des semaines. Mais personne ne veut acheter un produit, ni un service. Ce que les gens veulent, c’est les bénéfices du produit ou du service. Encore mieux, c’est la transformation individuelle ET sociale rendue possible par l’achat d’un produit ou un service proposé.
Et c’est quelque chose qu’on voit même en école de marketing, où on nous apprend tout un tas de techniques technologiques en passant totalement à côté des fondamentaux, à savoir engager les prospects de sorte à ce que leur désir devienne si brûlant qu’ils veulent absolument acquérir le produit/service.
Ici je vais parler cru dans mes propos, je ne vais pas mettre de filtres à mes pensées. Je vais vivre à fond l’aventure et cracher toutes mes tripes.
Je veux amasser de l’argent, mais je veux aussi en faire gagner. J’ai vraiment envie que les motivés aient tous les moyens nécessaires en leur possession pour vivre la vie de leur rêve, pour qu’ils réussissent dans leurs entreprises.
Parce que je sais que lorsqu’on décide d’emprunter des chemins différents de la masse, on est mal vu, on est critiqué, on est moqué.
Et il n’y a qu’une seule façon de convaincre les sceptiques : réussir là où ils n’imaginent même pas que c’est possible.
C’est parti!