Comment vendre un frigidaire à un Esquimau

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Lorsque tu lis le mot “vendeur”, quelle image te vient à l’esprit? Prends quelques secondes pour faire l’exercice. Personnellement, ce mot m’évoque un gros monsieur bedonnant qui porte une chemise rayée mal rentrée dans ses jeans (on lui voit le nombril) ainsi qu’une chaîne en or et de grosses lunettes fumées. Personne n’aime les vendeurs pour la simple et bonne raison que personne n’aime l’expérience de se faire vendre quelque chose. C’est pourquoi les meilleurs vendeurs ne sont pas les beaux parleurs, mais bien ceux qui sont effacés, écoutent attentivement et posent de bonnes questions. Personne n’aime se faire vendre, mais tout le monde aime se faire écouter. Quelqu’un qui ressemble trop à l’archétype d’un vendeur déclenche une alerte rouge dans la tête des gens. Ça les met sur leurs gardes et il faut ensuite faire du judo verbal pour accomplir quoi que ce soit. Bien sûr, les gens vont parfois se laisser impressionner et dire “oui”, mais, dès que la tension baisse, le “oui” redevient vite un “non”. Le point que je veux amener est le suivant: la vente ne ressemble en rien à l’image que tu t’es faite il y a quelques instants. On est tous des entrepreneurs malgré nous. Si tu es un employé, tu es dans la business de vendre ton temps. Que tu le veuilles ou pas, tu dois donc aussi porter le chapeau de vendeur, alors avale la pilule tout de suite qu’on passe à autre chose. La plupart des gens portent ce chapeau à reculons. Ils détestent ça et n’ont jamais pris le temps d’apprendre les fondamentaux, ce qui sabote leur succès. Mon objectif, dans cet article, est de te partager le petit 20 % qui va te donner 80 % des bénéfices, une fondation solide pour te permettre de devenir quelqu’un de…