Malgré qu’en France, l’auteur qui s’est le plus démarqué en 2016 a atteint 1 833 300 exemplaires de vente. En francophonie le nombre de copies vendues nécessaire à l’obtention du titre de BEST-SELLER est de 5000 exemplaires. De plus, il est rare qu’un auteur touche plus de 1 $ par livre vendu. Alors à moins d’écrire pour se pavaner avec un beau curriculum vitae mieux vaut clarifier l’essence cachée derrière l’objectif d’écrire son livre avant d’en donner les droits d’auteur. Car à ce propos les éditeurs ne font que très rarement une propagation marketing efficace à la place des écrivains. Et les ouvrages arrivent donc dans une mer de livres là où il n’y a que très peu de place à la démarcation : en librairie.
Intention initiale :
1— éclairer ici ceux qui sont dans cette démarche…
2— recevoir idées et astuces pour le bien de tous dans les commentaires…
Au plaisir de vous lire partout sur le portail,
Votre Pote Julien
Salut @Julien_Harvey! Une question m’est passée par la tête en lisant ton post, je me demandais, est-ce que l’autoédition est une pratique assez répandue en France?
D’après moi l’autoédition est bien si l’on ne dépasse pas 5000 livres vendus, car après ça bonjours la gestion des envois. C’est donc assez ironique, non ? lol
! C’est-ce qu’on fait avec Double Ta Valeur: