Quand j’étais désespérée et étudiante, j’ai offert mes services sur Fiver, Upwork et compagnie.
Pour réussir sur ces sites, il faut presque autant d’efforts que pour aller chercher des vrais bons clients. Je ne les recommanderais pas à mon pire ennemi.
Les clients qui sont là-dessus sont cheap et magasinent au prix. Not my type. 
Sinon, j’ai déjà engagé une couple de pigistes sur des sites du genre pour de la transcription. C’était OK.
Ouf. Tu me trouverais chère. 
Je conseille à tous les copywriters qui débutent de ne jamais charger au mot ou à l’heure.
Parce que rédiger une page de vente efficace ou une bonne séquence de courriels, c’est 95% de recherche et d’analyse, et genre 5% d’écriture. Bon, j’exagère un peu, mais à peine.
Un bon copywriter ne se contente pas d’écrire. Il analyse, il comprend, il conseille. Surtout, il génère des résultats. 