Bonjour!
Comme je débute dans ce monde de la mise en marché d’un produit via le WEB, je ne vais certainement pas me mettre à donner des conseils. Toutefois, j’ai pensé qu’il serait utile de vous raconter mon expérience des derniers jours face à un défi que j’avais et qui me semblait difficile à surmonter.
À savoir, comment lier mon réseau de contacts d’une part, à mon produit d’autre part. Ça a l’air simple comme ça, mais vous allez voir que parfois c’est notre crédibilité qui est en jeu!
Petit contexte
Moi, comme déjà expliqué, je suis chroniqueur historique. Partant de ça, je diffuse mes textes dans trois journaux de ma région (papier et WEB), et sur ma page Facebook dédiée à ces textes (6500 membres). En passant, je suis pigiste pour les journaux, donc je reçois un forfait à chaque texte. Ceci implique donc un professionnalisme certain, car raconter l’histoire, c’est une discipline sérieuse en tant que telle.
Mais, et parallèlement à cette activité, j’ai rédigé un thriller historique, qui n’a aucune prétention académique. C’est un divertissement, point.
Vous voyez peut-être le défi : comment mettre en contact ceux qui lisent mes chroniques sérieuses, donc qui s’intéressent à l’histoire, avec mon produit, qui lui est un divertissement historique oui, mais pas académique.
Le fait est que, évidemment, l’un n’empêche pas l’autre. À savoir qu’une personne s’intéressant à l’histoire avec un grand H a de bonnes chances de s’intéresser à un thriller historique. C’est EUX que je veux rejoindre.
Sauf que je ne peux pas me mettre à propulser mon roman à grand coup de pubs directes dans mes plateformes historiques sérieuses. Ça mêlerait les gens solide. Ils ne sauraient plus si ce qu’ils lisent est de l’histoire, ou de la fiction.
Ces deux choses (histoire et roman historique) sont connexes, mais il faut toujours que les gens sachent s’ils sont dans la vraie vie ou dans un livre!
Voici ce que j’ai trouvé. Vous me direz ce que vous en pensez.
Fort de mes quelques heures de pratique, je viens de terminer ma première chaine automatisée. Rien de bien élaboré (C’est beaucoup à apprendre…), mais je crois que ça tient la route.
Alors voilà. À compter d’en fin de semaine, je vais lancer une campagne parmi mes lecteurs de mes chroniques historiques pour offrir un nouveau service : recevoir le lien de mes chroniques via courriel chaque semaine. Je vais donc me monter une banque de noms de gens intéressés à ce service. À priori, ce n’est aucunement en lien avec mon roman et je n’en fais pas mention à ce moment.
Mais voilà, chaque semaine où ces gens vont recevoir le courriel avec le lien de la chronique, je vais y ajouter à la fin une petite pub texte avec un autre lien menant lui soit à mon site Internet dédié à mon roman, soit à un texte traitant de mon roman, etc… Puisque mes chroniques sont toutes les semaines, les petites pubs vont changer, et c’est comme ça que je vais cogner sur le clou, sans être agressant.
Selon les semaines, mes textes historiques touchent entre 15 000 et 30 000 personnes sur Facebook. Dans ces publications, je vais annoncer non pas mon roman, mais le service d’abonnement aux chroniques. Ce qui évite de les prendre de front, et de mélanger les deux choses.
Si ça se passe bien (ce que l’on espère toujours!) beaucoup de gens s’abonneront à l’envoi de mes chroniques par courriel, et verront donc mes petites pubs toutes les semaines.
Ce n’est qu’une fois qu’ils seront passés du vase 1 (les chroniques) vers le vase 2 (pubs) qu’ils vont tomber dans l’entonnoir de vente du roman.
Je crois que c’est une bonne manière de procéder dans les circonstances?
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