L’année passée, j’ai appliqué pour écrire des titres pour un blog Américain d’extrême droite (ouais, les fans finis de Trump) et… je suis vraiment allé à fond et j’ai finalement eu l’emploi!
Ma job a été d’écrire 8 titres par jours pendant 8 mois, jusqu’à ce que la guerre de Facebook contre les clickbaits finisse par tuer le projet et que la compagnie me dise qu’elle ne peut plus me payer.
Heureusement en fait, parce que je commençais à avoir un sérieux dilemme moral de prendre pour Trump, alors que dans la vie, je suis plutôt du genre à vouloir comprendre sans être extrême, et donc je penche plutôt vers la gauche.
Bref, en fait j’aime pas vraiment la politique…
Mais bon, ça c’est un autre sujet.
Donc, en ces 8 mois, j’ai écrit plus de 2 000 titres qui généraient des millions de clics par mois…
Et, j’ai décidé de te dire ce qui, au final, m’a aidé à écrire des bons titres. Je vais te les classer en ordre d’efficacité, et je ne pensais pas que c’était cet ordre-là au début…
Merci. Rien de neuf, mais bien ordonnée, ce qui est utile à l’implantation stratégique.
Petit bémol, tel que mentionné ci-haut, le lien ne fonctionne pas.
Depuis que je suis tombé sur le copywriting, j’ai compris que c’était la base de tout. C’est vraiment intéressant parce que c’est la psychologie derrière ce qui mène à une vente!
Si tu comprends le copywriting, tu comprends après comment tout utiliser, alors je t’encourage fortement à étudier ça!
Il n’y a pas de réponse fixe pour ça. Par contre, plus tu es capable de dire la même chose en le moins de mots possibles, plus ça a d’impact.
C’est comme si tu avais une force exercée, et plus tu rapetisses le point d’impact, plus ça fesse fort! Donc, moins de mots avec le même message donne habituellement de meilleurs résultats.
Je te dirais que je visais entre 4 et 7 mots idéalement, mais j’ai déjà écrit des titres de 12 - 13 mots
qui ont bien fonctionné. Si tu vas heurter les croyances, par exemple, ça a souvent beaucoup d’impact, peu importe le nombre de mots.
Ça dépend de ton objectif! Si tu veux bénéficier davantage du référencement Google, alors tu devrais en effet réfléchir plus en ces termes.
Moi, ce que je propose, c’est plutôt une forme pour avoir des articles plus “viraux”. Donc, ça mise davantage sur la polarité et le fait de toucher les croyances et les émotions plutôt que de miser sur Google.
Un mélange des deux peut être bon: avoir du référencement Google pour attirer des inconnus par le SEO et avoir d’autres titres plus accrocheurs pour les garder captivés sur ton blog ou site web.
Pour ma part, je ne suis pas celui qui s’occupe du SEO pcq je n’aime pas ça. Je préfère quand j’ai l’impression d’avoir eu le contrôle à 100% (ce qui n’est pas vrai non plus), plutôt que de dépendre de Google. La viralité peut payer beaucoup plus, mais peut aussi être plus difficile à atteindre.
Merci @Styphoon pour ce bon reminder. La phrase toute bête à retenir (et à replacer dans tous les bons dîners!) : « les gens likent, cliquent, partagent parce qu’ils vivent une émotion qui provoque une reponse »
Simple, basique
Michel, honnêtement pour ces titres-là, Google Translate suffit!
Parce que les mots juste, ça va être toi qui va les trouver pour ton audience. Regarde plutôt la structure et comment les titres sont construits.
Dans l’article, je parle pas de mots parce que les mots viennent après la connaissance de ta clientèle. Tu vas savoir quoi leur dire. J’te dirais, en gros: trouve ce qui challenge leurs croyances, et dans ce que tu écris après, explique à partir de leur croyance présente comment t’es arrivé à ta nouvelle croyance.