Apologie de l’échec : un puissant propulseur à succès

Parlons de l’échec.

Il est évidemment pertinent pour un entrepreneur d’avoir une conversation sérieuse et honnête à propos de l’échec. Le problème, c’est qu’il y a un malaise, voir même un tabou, à parler de ses échecs, surtout dans le milieu entrepreneurial.

Pourtant, l’échec n’est pas une maladie contagieuse; on peut en parler sans se faire mal et sans crainte de contaminer notre entourage. En fait, lorsqu’on parle avec tous ceux qui ont réussi, on réalise que tout succès repose d’abord sur au moins un échec.

3 « J'aime »

Je suis tout à fait d’accord, David. Vivre des échecs comem entrepreneure, ça done l’occasion de s’ajuster et de voir ce qui cloche dans notre système en place.

Je rajouterais aussi que quand plusieurs personne ne veulent pas admettre leurs fautes/échecs, c’est l’égo et l’orgueil qui embarquent.

Mais en tant qu’employé, l’échec est encore moins toléré. Certains milieux mettent dehors presque automatiquement après une faute (pour l’avoir vécu, je confirme que restauration, hôtellerie, milieu de la santé et arts et spectacles sont comme ça).

2 « J'aime »

Une lecture qui fait du bien, sans pensée magique, bien rationnelle.
L’échec nous fait évoluer en tant qu’humain, il nous fait repousser nos limites et nous dévoile très souvent des qualités de nous-mêmes que nous ne savions pas posséder.

1 « J'aime »

Quel échec vous a fait le plus grandir membres de la tranchée?

Je ne sais pas si on peut appelé ça un échec, mais disons que j’ai eu un échec amoureux, disons le comme ça. Cette relation m’a fait grandir et surtout m’a fait découvrir qui je suis et ce que je vaux aujourd’hui. J’ai eu beaucoup de violence verbale et psychologique alors mon estime était rendue bien basse. Aujourd’hui j’ai remonté et j’ai réussi à me reconstruire. Grâce à lui je suis une meilleure version de moi même.
On peut tomber mais le plus beau c’est que l’on se relève plus fort.

1 « J'aime »

‹ ‹ Failure is just testing › › -Dan pena

Avoir deux changements de carrière pourrait être vu comme des échecs, mais en réalité, ça l’a été l’occasion pour moi de grandir et de mieux savoir ce que je veux faire!

1 « J'aime »

J’ai aussi changé de carrière il y a un an et demi @BrunoLEsperance. Sur le coup ça sonne comme un échec mais ce ne l’est pas.

1 « J'aime »

Mes échecs sont mes professeurs qui me montrent comment mieux faire.

1 « J'aime »

Merci pour ce texte, apprivoiser l’échec ne pas en avoir peur c’est un travail de tout les jours!

1 « J'aime »